Démission de l’équipe de négociateurs palestiniens impliquée dans les pourparlers de paix entre Israël et l’autorité palestinienne.
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, a déclaré mercredi sur les ondes de la télévision égyptienne que cette démission était due au manque de progrès. Il a ajouté qu’il allait tenter de convaincre les diplomates de revenir sur leur décision, ou qu’il mettrait en place une nouvelle équipe. Dans les deux cas, a-t-il poursuivi, le processus de négociations sera retardé.
Dans une interview avec l’agence Reuters, le négociateur en chef palestinien, Saeb Erekat, a refusé d'élaborer sur sa démission, se contentant de dire que les négociations avec Israël étaient dans l’impasse.
« En réalité, les négociations se sont arrêtées la semaine dernière, pour être honnête, à la lumière des annonces de nouvelles implantations » juives, a-t-il dit. « Nous sommes confrontés au quotidien à des comportement et actes israéliens en rapport avec les implantations, au meurtre de sang-froid, au terrorisme auquel se livrent les colons sous la protection des militaires israéliens, à la démolition de demeures, aux lois soumises à la Knesset qui visent à diviser la mosquée sainte Al-Aqsa, etc. Tous ces comportement israéliens, que ce soit à la table des négociations ou sur le terrain, s’ils témoignent de quoi que ce soit, c’est d’une seule chose, à savoir que Kerry a échoué et que les Israéliens seuls devraient en porter la responsabilité », a dit M. Erekat.
Mardi, le ministère israélien du Logement a annoncé la construction de 20.000 nouveaux logements dans des secteurs contestés de Jérusalem et de la Cisjordanie. Mais le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a inversé cette décision, disant qu’elle entraverait les efforts de Tel-Aviv pour que les puissances mondiales maintiennent leurs sanctions punitives contre Téhéran pour son programme nucléaire controversé.
Néanmoins mercredi, le ministre israélien des Affaires stratégiques, Yuval Steinitz, a dit clairement que l’ordre du Premier ministre ne changeait en rien la décision d’élargir les implantations juives. « Il n’y a pas de gel des colonies » de peuplement juif. « C’est clairement compris par les trois parties – les Israéliens, les Palestiniens et les Américains » a dit M. Steinitz.
Le président palestinien, Mahmoud Abbas, a déclaré mercredi sur les ondes de la télévision égyptienne que cette démission était due au manque de progrès. Il a ajouté qu’il allait tenter de convaincre les diplomates de revenir sur leur décision, ou qu’il mettrait en place une nouvelle équipe. Dans les deux cas, a-t-il poursuivi, le processus de négociations sera retardé.
Dans une interview avec l’agence Reuters, le négociateur en chef palestinien, Saeb Erekat, a refusé d'élaborer sur sa démission, se contentant de dire que les négociations avec Israël étaient dans l’impasse.
« En réalité, les négociations se sont arrêtées la semaine dernière, pour être honnête, à la lumière des annonces de nouvelles implantations » juives, a-t-il dit. « Nous sommes confrontés au quotidien à des comportement et actes israéliens en rapport avec les implantations, au meurtre de sang-froid, au terrorisme auquel se livrent les colons sous la protection des militaires israéliens, à la démolition de demeures, aux lois soumises à la Knesset qui visent à diviser la mosquée sainte Al-Aqsa, etc. Tous ces comportement israéliens, que ce soit à la table des négociations ou sur le terrain, s’ils témoignent de quoi que ce soit, c’est d’une seule chose, à savoir que Kerry a échoué et que les Israéliens seuls devraient en porter la responsabilité », a dit M. Erekat.
Mardi, le ministère israélien du Logement a annoncé la construction de 20.000 nouveaux logements dans des secteurs contestés de Jérusalem et de la Cisjordanie. Mais le Premier ministre, Benjamin Netanyahu, a inversé cette décision, disant qu’elle entraverait les efforts de Tel-Aviv pour que les puissances mondiales maintiennent leurs sanctions punitives contre Téhéran pour son programme nucléaire controversé.
Néanmoins mercredi, le ministre israélien des Affaires stratégiques, Yuval Steinitz, a dit clairement que l’ordre du Premier ministre ne changeait en rien la décision d’élargir les implantations juives. « Il n’y a pas de gel des colonies » de peuplement juif. « C’est clairement compris par les trois parties – les Israéliens, les Palestiniens et les Américains » a dit M. Steinitz.