La violence qui secoue la République Centrafricaine depuis plusieurs mois n’a pas offert de répit pour la fête de Noël. Au total, 18 morts en 24 heures, et le bilan pourrait être beaucoup plus lourd...
Trois soldats tchadiens de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA) sont morts mercredi après-midi à Bangui, plus précisément au quartier Potopoto Pk10 route de Damara, suite à un affrontement qui les a opposés aux éléments anti-Balaka.
Aux derniers nouvelles, le chargé de communication de la MISCA a déclaré à la presse que cinq éléments de la mission ont perdu la vie dans cet affrontement dont un capitaine. Il n’a pas indiqué leur nationalité, mais des sources hospitalières disent que trois d’entre eux sont des soldats tchadiens. On a annoncé lundi le redéploiement des éléments tchadiens de la MISCA dans le nord de la Centrafrique.
Noël violente à Saint Charles Louanga de Bégoua
Des éléments apparemment affiliés à l’ex-coalition Séléka ont ouvert le feu dans l’enceinte de l’église pour des raisons inconnues. Trois personnes sont mortes sur le champ et une autre a succombé, par la suite, à ses blessures.
Cette église s’est transformée, depuis la crise, en véritable centre de refuge, abritant jsuqu’à 20 mille personnes déplacées par les combats, y compris plus de 10 000 enfants, nous a dit le curé de Saint Charles Louanga, le Père Anicet Ossibouyen Senganambi.
Rappelons que dans la matinée du 24 décembre, des anti-Balaka ont abattu quatre musulmans dans le quartier de Gobongo, 4e arrondissement de Bangui. En représailles, des hommes armés sont entrés dans le quartier de Miskine, dans le 5e arrondissement, où ils ont tué cinq personnes et blessé une vingtaine d’autres.
Ces actes de violence continuent en dépit de la présence à Bangui d’une force française et de la MISCA, la Mission internationale de soutien à la Centrafrique. Des sources dignes de foi ont rapporté plusieurs incidents mercredi dans le secteur nord de Bangui et des blindés français étaient déployés en début d’après-midi devant l’entrée de l’aéroport, alors que des tirs à l’arme lourde et d’armes automatiques pouvaient être entendus à seulement un kilomètre de distance.
Trois soldats tchadiens de la Mission internationale de soutien à la Centrafrique (MISCA) sont morts mercredi après-midi à Bangui, plus précisément au quartier Potopoto Pk10 route de Damara, suite à un affrontement qui les a opposés aux éléments anti-Balaka.
Aux derniers nouvelles, le chargé de communication de la MISCA a déclaré à la presse que cinq éléments de la mission ont perdu la vie dans cet affrontement dont un capitaine. Il n’a pas indiqué leur nationalité, mais des sources hospitalières disent que trois d’entre eux sont des soldats tchadiens. On a annoncé lundi le redéploiement des éléments tchadiens de la MISCA dans le nord de la Centrafrique.
Noël violente à Saint Charles Louanga de Bégoua
Des éléments apparemment affiliés à l’ex-coalition Séléka ont ouvert le feu dans l’enceinte de l’église pour des raisons inconnues. Trois personnes sont mortes sur le champ et une autre a succombé, par la suite, à ses blessures.
Cette église s’est transformée, depuis la crise, en véritable centre de refuge, abritant jsuqu’à 20 mille personnes déplacées par les combats, y compris plus de 10 000 enfants, nous a dit le curé de Saint Charles Louanga, le Père Anicet Ossibouyen Senganambi.
Rappelons que dans la matinée du 24 décembre, des anti-Balaka ont abattu quatre musulmans dans le quartier de Gobongo, 4e arrondissement de Bangui. En représailles, des hommes armés sont entrés dans le quartier de Miskine, dans le 5e arrondissement, où ils ont tué cinq personnes et blessé une vingtaine d’autres.
Ces actes de violence continuent en dépit de la présence à Bangui d’une force française et de la MISCA, la Mission internationale de soutien à la Centrafrique. Des sources dignes de foi ont rapporté plusieurs incidents mercredi dans le secteur nord de Bangui et des blindés français étaient déployés en début d’après-midi devant l’entrée de l’aéroport, alors que des tirs à l’arme lourde et d’armes automatiques pouvaient être entendus à seulement un kilomètre de distance.