Michel Odzocki, le porte-parole l’a récemment déclaré à la presse.
Mais de l’avis des experts légaux, la Constitution de la République du Congo ne prévoit pas son remplacement.
Pour Me Maixent Hanimba, juriste indépendant, « il y a des articles qui sont verrouillés, en l’occurrence l’article 85 qui limite les mandats du président à deux ».
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« Nous supposons que le parti du président de la République a bien compris que la révision constitutionnelle ne permettrait pas au chef de l’Etat de briquer un troisième mandat, » a indiqué Me Hanimba à la VOA.
Le juriste estime aussi que l’implication de toutes les parties sera nécessaire pour la mise en place d’une nouvelle Constitution, « qui signifierait la suspension de toutes les institutions du pays, y compris la présidence ».
Et, cette option requiert un consensus national.