Au Congrès, les parlementaires américains s’apprêtaient à voter samedi sur un projet de loi qui pourrait permettre de sortir de l’impasse. A noter qu’en dépit de l’optimisme affiché par les parlementaires, la Maison Blanche a minimisé vendredi la possibilité d’un accord avec les républicains sur une solution possible pour mettre fin à la fermeture partielle du gouvernement et éviter un défaut de paiement de la dette publique.
Le président Obama a rencontré 26 sénateurs républicains à la Maison Blanche dans le cadre de l'impasse budgétaire et du plafond de la dette nationale, et il a téléphoné au président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner, pour faire le point des négociations.
Mais le porte-parole de la Maison-Blanche, Jay Carney, et le bureau de M. Boehner, ont déclaré qu'ils ont seulement accepté que « toutes les parties doivent continuer de discuter ».
Aucun accord n’est à portée de main, a souligné M. Carney, en notant néanmoins que « l'approche constructive » adoptée par les républicains lors des dernières discussions montre qu'ils comprennent la nécessité d'éliminer la menace du défaut de paiement.
« La position du président, qui est que les Etats- Unis ne devraient pas, et que le peuple américain ne saurait, payer une rançon pour que le Congrès fasse simplement son travail, reste aussi valable aujourd'hui qu'elle l’a été tout au long de cette période », a dit M. Carney.
Auparavant, la sénatrice républicaine du Maine, Susan Collins, avait commenté les entretiens des sénateurs républicains avec le président, les qualifiant de « bien mais peu concluants », et les républicains ont exprimé leur préoccupation au sujet de la nécessité de gérer la dette publique, qui s’élève aujourd’hui à quelques 16 700 milliards de dollars.
« Au moins, il parle à des membres du Congrès des deux partis » a-t-elle dit.
Le président Obama a rencontré 26 sénateurs républicains à la Maison Blanche dans le cadre de l'impasse budgétaire et du plafond de la dette nationale, et il a téléphoné au président républicain de la Chambre des représentants, John Boehner, pour faire le point des négociations.
Mais le porte-parole de la Maison-Blanche, Jay Carney, et le bureau de M. Boehner, ont déclaré qu'ils ont seulement accepté que « toutes les parties doivent continuer de discuter ».
Aucun accord n’est à portée de main, a souligné M. Carney, en notant néanmoins que « l'approche constructive » adoptée par les républicains lors des dernières discussions montre qu'ils comprennent la nécessité d'éliminer la menace du défaut de paiement.
« La position du président, qui est que les Etats- Unis ne devraient pas, et que le peuple américain ne saurait, payer une rançon pour que le Congrès fasse simplement son travail, reste aussi valable aujourd'hui qu'elle l’a été tout au long de cette période », a dit M. Carney.
Auparavant, la sénatrice républicaine du Maine, Susan Collins, avait commenté les entretiens des sénateurs républicains avec le président, les qualifiant de « bien mais peu concluants », et les républicains ont exprimé leur préoccupation au sujet de la nécessité de gérer la dette publique, qui s’élève aujourd’hui à quelques 16 700 milliards de dollars.
« Au moins, il parle à des membres du Congrès des deux partis » a-t-elle dit.