Le satellite, baptisé « Interface Region Imaging Spectrograph » (IRIS) a été embarqué à bord d'une fusée Pegasus XL qui a décollé de la base militaire de Vandenberg en Californie.
Les scientifiques espèrent qu’IRIS permettra d’étudier la façon dont la matière solaire se déplace, accumule de l'énergie et se réchauffe lorsqu'elle voyage dans la basse atmosphère du Soleil, point de départ de la majorité des rayons ultraviolets, une région relativement mal connue de notre étoile.
On sait que la surface du Soleil fait environ 6.000 degrés Celcius, mais les températures de la couronne atteignent un million de degrés Celcius, un mystère que les scientifiques cherchent à percer.
Les scientifiques espèrent qu’IRIS permettra d’étudier la façon dont la matière solaire se déplace, accumule de l'énergie et se réchauffe lorsqu'elle voyage dans la basse atmosphère du Soleil, point de départ de la majorité des rayons ultraviolets, une région relativement mal connue de notre étoile.
On sait que la surface du Soleil fait environ 6.000 degrés Celcius, mais les températures de la couronne atteignent un million de degrés Celcius, un mystère que les scientifiques cherchent à percer.