Les dirigeants du G7, le Groupe des sept principaux pays industrialisés, se réunissaient jeudi à Bruxelles pour une deuxième journée consécutive, les discussions restant dominées par l’ingérence de la Russie dans la crise en Ukraine.
Mercredi soir, les dirigeants du G7, dont le président américain Barack Obama, ont exhorté Moscou à respecter l’issue de l'élection présidentielle en Ukraine, à mettre fin aux infiltrations de combattants et d'armes dans l’est du pays, et à retirer complètement ses troupes de sa frontière avec l'Ukraine.
Dans une déclaration conjointe, ils ont menacé « d'intensifier les sanctions ciblées et de mettre en œuvre des mesures restrictives supplémentaires importantes pour imposer des coûts supplémentaires à la Russie », au cas où la tournure des évènements l’exigerait.
Contrairement au passé, le président russe Vladimir Poutine n'a pas été invité au sommet, une décision prise en réponse à l'annexion de la péninsule de Crimée en mars par Moscou.
M. Poutine a cherché à minimiser ce boycott, mais s’est déclaré disposé à dialoguer avec le président élu de l'Ukraine, Petro Porochenko.
Après le G7, le président Obama est attendu en Normandie, en France, où les alliés marqueront le 70e anniversaire du débarquement contre les forces nazies durant la Seconde Guerre mondiale.
Si M. Poutine assistera à la cérémonie, aucune rencontre n’est prévue entre le dirigeant russe et M. Obama. S'exprimant en Pologne mercredi, le président américain a fustigé les « tactique sombres » de la Russie en Ukraine.
M. Obama a également rencontré le président élu ukrainien Porochenko à Varsovie, et a annoncé une nouvelle aide de 5 millions de dollars à l’armée ukrainienne pour l’aider à combattre les séparatistes pro-russes dans l’est du pays. Cet argent doit servir à l'achat de gilets pare-balles, de lunettes de vision nocturne et de matériel de communication.
La communauté internationale doit soutenir les négociations avec la Russie, a poursuivi M. Obama, et s'assurer que Moscou ne finance pas, n’arme pas et ne soutient pas les séparatistes en Ukraine.
Mercredi soir, les dirigeants du G7, dont le président américain Barack Obama, ont exhorté Moscou à respecter l’issue de l'élection présidentielle en Ukraine, à mettre fin aux infiltrations de combattants et d'armes dans l’est du pays, et à retirer complètement ses troupes de sa frontière avec l'Ukraine.
Dans une déclaration conjointe, ils ont menacé « d'intensifier les sanctions ciblées et de mettre en œuvre des mesures restrictives supplémentaires importantes pour imposer des coûts supplémentaires à la Russie », au cas où la tournure des évènements l’exigerait.
Contrairement au passé, le président russe Vladimir Poutine n'a pas été invité au sommet, une décision prise en réponse à l'annexion de la péninsule de Crimée en mars par Moscou.
M. Poutine a cherché à minimiser ce boycott, mais s’est déclaré disposé à dialoguer avec le président élu de l'Ukraine, Petro Porochenko.
Après le G7, le président Obama est attendu en Normandie, en France, où les alliés marqueront le 70e anniversaire du débarquement contre les forces nazies durant la Seconde Guerre mondiale.
Si M. Poutine assistera à la cérémonie, aucune rencontre n’est prévue entre le dirigeant russe et M. Obama. S'exprimant en Pologne mercredi, le président américain a fustigé les « tactique sombres » de la Russie en Ukraine.
M. Obama a également rencontré le président élu ukrainien Porochenko à Varsovie, et a annoncé une nouvelle aide de 5 millions de dollars à l’armée ukrainienne pour l’aider à combattre les séparatistes pro-russes dans l’est du pays. Cet argent doit servir à l'achat de gilets pare-balles, de lunettes de vision nocturne et de matériel de communication.
La communauté internationale doit soutenir les négociations avec la Russie, a poursuivi M. Obama, et s'assurer que Moscou ne finance pas, n’arme pas et ne soutient pas les séparatistes en Ukraine.