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La Maison Blanche dément qu'un conseiller de Trump l'ait traité d'idiot


Pope Francis reads his "Urbi et Orbi" ("To the City and the World") message in St. Peter's Basilica with no public participation due to an outbreak of the coronavirus disease (COVID-19) on Easter Sunday at the Vatican.
Pope Francis reads his "Urbi et Orbi" ("To the City and the World") message in St. Peter's Basilica with no public participation due to an outbreak of the coronavirus disease (COVID-19) on Easter Sunday at the Vatican.

Le secrétaire général de la Maison Blanche John Kelly a démenti lundi les affirmations d'une chaîne de télévision américaine selon laquelle il aurait qualifié le président Donald Trump d'"idiot".

La chaîne NBC, citant plusieurs employés non identifiés de la Maison Blanche, actuels et anciens, a rapporté que M. Kelly avait utilisé ce terme à plusieurs reprises pour parler du milliardaire, estimant être le seul rempart contre une catastrophe provoquée par les "pulsions erratiques d'un président qui a une approche discutable des problèmes politiques et des fonctions d'un gouvernement".

Le général à la retraite a répliqué lundi après-midi, par une déclaration diffusée via la porte-parole de la Maison Blanche Sarah Sanders.

"Je passe davantage de temps que quiconque en compagnie du président et nous avons une relation incroyablement franche et solide", a indiqué M. Kelly. "Il sait toujours quelle est ma position et lui et moi savons que cette histoire est une c....rie totale", a-t-il ajouté, utilisant les lettres politiquement correctes "BS".

"C'est une autre tentative ridicule de salir ceux qui sont proches du président Trump et de détourner l'attention des nombreux succès de l'administration", a-t-il continué. "Je suis engagé envers le président, son programme et notre pays".

NBC avait déjà rapporté en octobre que le secrétaire d'Etat de l'époque Rex Tillerson --limogé mi-mars par Donald Trump après des mois de spéculations sur son départ-- avait qualifié dans le courant de l'été le président de "débile".​

M. Tillerson avait alors été contraint de prêter publiquement allégeance à l'occupant de la Maison Blanche.

Après la sortie en janvier d'un livre accablant sur les coulisses de l'administration Trump, M. Tillerson était monté au créneau pour défendre l'aptitude mentale de l'ancien magnat de l'immobilier. "Je n'ai jamais remis en cause son aptitude mentale, je n'ai aucune raison de douter de son aptitude mentale", avait-il notamment dit sur CNN.

Acec AFP

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