Suite à de nouveaux incidents en Casamance, l’ONG SOS Casamance appelle le gouvernement sénégalais à s’entendre avec les rebelles du Mouvement des Forces Démocratiques de la Casamance (MFDC) pour ramener la paix dans cette région à vocation indépendantiste.
« Ce que nous constatons, c’est qu’il y a un cessez-le-feu de fait, mais qui n’est pas formalisé du tout » déclare Amadou Sylla, président de SOS Casamance.
En arrivant au pouvoir, le président Macky Sall avait dit qu’il donnerait priorité au règlement du conflit casamançais, mais l’impasse persiste, déplore M. Sylla. L’absence d’accord officiel suscite nombre de problème, poursuit le responsable, mais cela « créé également une fragilité ». De ce fait, l’insécurité persiste en Casamance et le moral de la population s’en ressent.
« Il faut signer un papier », poursuit M. Sylla, et développer un « vrai processus de paix » qui n’exclue personne. Car les pourparlers informels en cours à l’heure actuelle ne concernent que certaines éléments au conflit en Casamance.
« Ce que nous constatons, c’est qu’il y a un cessez-le-feu de fait, mais qui n’est pas formalisé du tout » déclare Amadou Sylla, président de SOS Casamance.
En arrivant au pouvoir, le président Macky Sall avait dit qu’il donnerait priorité au règlement du conflit casamançais, mais l’impasse persiste, déplore M. Sylla. L’absence d’accord officiel suscite nombre de problème, poursuit le responsable, mais cela « créé également une fragilité ». De ce fait, l’insécurité persiste en Casamance et le moral de la population s’en ressent.
« Il faut signer un papier », poursuit M. Sylla, et développer un « vrai processus de paix » qui n’exclue personne. Car les pourparlers informels en cours à l’heure actuelle ne concernent que certaines éléments au conflit en Casamance.