Les feux d’artifice ont illuminé le ciel dans les capitales et villes du monde pour marquer le nouvel an, et des millions de personnes ont célébré l’événement par des concerts et des services religieux.
Les pays d’Asie du Sud-est ont été les premiers à accueillir l’année 2012. Comme à l’accoutumée, Hong Kong et Sydney ont organisé d’extravagants spectacles dans leurs ports.
A Tokyo, les célébrations ont eu lieu sur un ton sombre en souvenir du tremblement de terre et du tsunami dévastateurs du 11 mars 2011, qui avaient fait 20 000 morts ou disparus.
Au Vatican, le pape Benoît XVI a exhorté des dizaines de milliers de pèlerins et de touristes à « prier pour la paix dans le monde, la réconciliation et le pardon » dans les régions en conflit. Il a également appelé « à une distribution plus juste et plus équitable des ressources du monde. »
Des milliers d’Egyptiens ont marché sur la place Tahrir, au Caire, en tenant des photos de manifestants tués durant le soulèvement qui a forcé l’ancien président Hosni Moubarak à quitter le pouvoir en début d’année 2011.
Le président américain Barack Obama et sa famille ont célébré le nouvel an à Hawai, Etat de naissance du chef de l’exécutif américain, et l’un des derniers endroits du monde à célébrer la nouvelle année.
Environ un million de personnes ont assisté, à New York, à la descente de la boule géante de Times Square à minuit.
La Corée du Nord a entamé la nouvelle année avec un nouveau leader et l'engagement public "à bâtir un puissant pays de gens talentueux." Le peuple coréen "est très déterminé à remporter une fière victoire cette année dans l'effort en vue de bâtir une nation florissante", a fait savoir l'agence de presse d'Etat nord-coréenne.