Le président Barack Obama et le député John Boehner de l’Ohio ne s’étaient pas parlé directement depuis près d’un mois. Après leur première rencontre, la Maison Blanche et M. Boehner ont offert, chacun, un plan de réduction de la dette qui permettrait d’éviter le gouffre fiscal, mais chaque camp a rejeté l’offre adverse comme étant inacceptable.
Quelques heures avant la rencontre du 9 décembre, des membres du Congrès ont néanmoins répété les mêmes positions, dans des émissions télévisées.
« Malheureusement, pour le président c’est ma façon ou nulle autre ! » a déclaré le député républicain Jeb Hensarling sur la chaîne ABC. Selon lui, la pierre d’achoppement est l’insistance du président à augmenter les impôts. Aucun républicain ne veut voter pour une augmentation d’impôts, a ajouté M. Hensarling.
Pourtant, certains élus du parti ont dit qu’ils accepteraient de relever les taux imposés aux plus riches en échange pour des réformes dans les programmes de santé et de paiement aux retraités.
En cas d’absence d’accord entre la Maison Blanche et le Congrès, tous les citoyens imposables vont devoir verser davantage dans les coffres du gouvernement fédéral tandis que les dépenses nationales et le budget de l'armée seraient automatiquement réduits, tout cela à partir du 1er janvier. Les économistes sont d’avis qu’une telle austérité pourrait replonger l’économie américaine dans une récession.
Quelques heures avant la rencontre du 9 décembre, des membres du Congrès ont néanmoins répété les mêmes positions, dans des émissions télévisées.
« Malheureusement, pour le président c’est ma façon ou nulle autre ! » a déclaré le député républicain Jeb Hensarling sur la chaîne ABC. Selon lui, la pierre d’achoppement est l’insistance du président à augmenter les impôts. Aucun républicain ne veut voter pour une augmentation d’impôts, a ajouté M. Hensarling.
Pourtant, certains élus du parti ont dit qu’ils accepteraient de relever les taux imposés aux plus riches en échange pour des réformes dans les programmes de santé et de paiement aux retraités.
En cas d’absence d’accord entre la Maison Blanche et le Congrès, tous les citoyens imposables vont devoir verser davantage dans les coffres du gouvernement fédéral tandis que les dépenses nationales et le budget de l'armée seraient automatiquement réduits, tout cela à partir du 1er janvier. Les économistes sont d’avis qu’une telle austérité pourrait replonger l’économie américaine dans une récession.