Pour la 4è journée consécutive, les manifestations ont continué contre contre le film controversé produit aux Etats-Unis et jugé offensant à l'endroit du prophète Mohammed. La vidéo était au centre des discussions pendant la Grande prière du vendredi à travers le Moyen Orient, l’Asie du sud et de l’est, ainsi qu’en Afrique.
Au Soudan, la police a affronté à coups de matraques et de gaz lacrymogènes des milliers de manifestants qui protestaient devant trois ambassades occidentales à Khartoum. Peu après la fin de la prière du vendredi à la Grande Mosquée de Khartoum, des milliers de manifestants ont pris d'assaut les ambassades britanniques et allemandes. Les manifestants ont monté un drapeau islamique, et mis le feu a la représentation allemande.
Plus tard, les manifestants se sont déplacés vers l'ambassade des Etats Unis, où ils ont affronté la police anti-émeute. Diverses sources affirment qu'au moins un manifestant a été tué devant l'ambassade américaine.
De la Tunisie au Yémen, en passant par l'Egypte, les manifestants ont assiégé les ambassades des États-Unis et de leurs alliés, estimant que ces pays n'ont pas fait assez pour empêcher la diffusion de la vidéo controversée.
A Tunis, la police a usé de gaz lacrymogènes contre les protestataires usant de pierres contre elle. Certains d’entre eux ont réussi à pénétrer dans la cour du bâtiment de l’ambassade américaine dans la capitale tunisienne.
Au moins un décès a été signalé dans le Nord du Liban.
Certaines des plus grandes manifestations ont eu lieu au Caire, où la police a tenté de barrer la route aux protestataires près de l’ambassade américaine, en usant de grenades lacrymogènes.
Un imam a rappelé aux fidèles, lors de la prière du vendredi, que les Egyptiens « sous leur nouveau gouvernement islamiste peut maintenant défendre le prophète contre de telles insultes ».
Le président égyptien Mohamed Morsi, qui a condamné la vidéo controversée, a, de nouveau, insisté, vendredi, sur la nécessité de contrôler les manifestations.
Ailleurs dans le monde, on a signalé des manifestations en Malaisie, et en Indonésie, pendant qu’on renforçait la sécurité à Kaboul, en Afghanistan. Dans ce dernier pays, et au Pakistan, il y a eu des manifestations ici et là, mais aucun incident majeur à signaler.
Au Soudan, la police a affronté à coups de matraques et de gaz lacrymogènes des milliers de manifestants qui protestaient devant trois ambassades occidentales à Khartoum. Peu après la fin de la prière du vendredi à la Grande Mosquée de Khartoum, des milliers de manifestants ont pris d'assaut les ambassades britanniques et allemandes. Les manifestants ont monté un drapeau islamique, et mis le feu a la représentation allemande.
Plus tard, les manifestants se sont déplacés vers l'ambassade des Etats Unis, où ils ont affronté la police anti-émeute. Diverses sources affirment qu'au moins un manifestant a été tué devant l'ambassade américaine.
De la Tunisie au Yémen, en passant par l'Egypte, les manifestants ont assiégé les ambassades des États-Unis et de leurs alliés, estimant que ces pays n'ont pas fait assez pour empêcher la diffusion de la vidéo controversée.
A Tunis, la police a usé de gaz lacrymogènes contre les protestataires usant de pierres contre elle. Certains d’entre eux ont réussi à pénétrer dans la cour du bâtiment de l’ambassade américaine dans la capitale tunisienne.
Au moins un décès a été signalé dans le Nord du Liban.
Certaines des plus grandes manifestations ont eu lieu au Caire, où la police a tenté de barrer la route aux protestataires près de l’ambassade américaine, en usant de grenades lacrymogènes.
Un imam a rappelé aux fidèles, lors de la prière du vendredi, que les Egyptiens « sous leur nouveau gouvernement islamiste peut maintenant défendre le prophète contre de telles insultes ».
Le président égyptien Mohamed Morsi, qui a condamné la vidéo controversée, a, de nouveau, insisté, vendredi, sur la nécessité de contrôler les manifestations.
Ailleurs dans le monde, on a signalé des manifestations en Malaisie, et en Indonésie, pendant qu’on renforçait la sécurité à Kaboul, en Afghanistan. Dans ce dernier pays, et au Pakistan, il y a eu des manifestations ici et là, mais aucun incident majeur à signaler.