Selon la filiale régionale de la Réserve fédérale à St. Louis, dans le Missouri, les familles américaines avaient accumulé, au 31 décembre 2012, des biens d’une valeur nette chiffrée à quelques 66.000 milliards de dollars. Néanmoins, ce chiffre ne représente que 45 % du total amassé par les ménages dans les mois qui ont précédé, en 2007, la plus forte récession depuis les années 1930.
On ne saurait rétendre que les dégâts infligés par la récession « ont été en grande partie réparés », ajoute la Fed.
Suite à l’envolée des places boursières américaines ces dernières semaines, certains experts ont conclu que les ménages du pays avaient récupéré la quasi-totalité de la richesse perdue. Mais le nouveau rapport indique que cette brusque hausse des indices a principalement profité aux familles riches.
Les jeunes, les personnes moins instruites, les noirs et les hispaniques ont perdu la plus grande partie de leurs richesses au cours de la récession. Toujours selon le rapport de la Fed, la faiblesse de la reprise de l’économie s’explique du fait de leur endettement personnel et la difficulté qu’ils éprouvent à repartir de l’avant.
Certes le taux de chômage a baissé et se chiffre aujourd’hui à 7,5 pour cent, mais il reste encore élevé comparé à la moyenne à long terme du pays. L'économie des Etats-Unis, la plus importante au monde, a connu un taux de croissance de 2,4 % dans les premiers mois de 2013.
On ne saurait rétendre que les dégâts infligés par la récession « ont été en grande partie réparés », ajoute la Fed.
Suite à l’envolée des places boursières américaines ces dernières semaines, certains experts ont conclu que les ménages du pays avaient récupéré la quasi-totalité de la richesse perdue. Mais le nouveau rapport indique que cette brusque hausse des indices a principalement profité aux familles riches.
Les jeunes, les personnes moins instruites, les noirs et les hispaniques ont perdu la plus grande partie de leurs richesses au cours de la récession. Toujours selon le rapport de la Fed, la faiblesse de la reprise de l’économie s’explique du fait de leur endettement personnel et la difficulté qu’ils éprouvent à repartir de l’avant.
Certes le taux de chômage a baissé et se chiffre aujourd’hui à 7,5 pour cent, mais il reste encore élevé comparé à la moyenne à long terme du pays. L'économie des Etats-Unis, la plus importante au monde, a connu un taux de croissance de 2,4 % dans les premiers mois de 2013.