Au mois de janvier dernier, les autorités maliennes avaient demandé à la France d‘intervenir dans leur pays afin d’empêcher la prise de Bamako, la capitale, par les djihadistes qui contrôlaient le nord malien depuis mars 2012.
L’Opération Serval a réussi à libérer les principales villes du nord—Gao, Tombouctou, Kidal—mais la résistance des islamistes dans l’extrême nord se fait persistante et des questions restent à régler concernant Kidal.
Les troupes françaises devraient commencer à quitter le Mali bientôt et les Nations Unies font des plans pour la prochaine phase de la mission de stabilisation de ce pays sahélien.
C’est dans ce contexte qu’il faut situer le rapport du secrétaire général Ban Ki-moon, mardi, aux 15 membres du Conseil de Sécurité.
M. Ban a offert deux options possibles : ou bien la mission dirigée par les Africains reste sur place, mais avec un financement provenant du budget de l’ONU ; ou bien l’ONU envoie jusqu'à 11 200 casques bleus au Mali, tout en créant une force parallèle destinée à mener des opérations contre les terroristes.
Les diplomates semblent préférer la seconde option.
Le Conseil a entamé des discussions préliminaires sur les recommandations de Ban Ki-moon. Il doit se pencher à nouveau sur la question le 2 avril et un vote pourrait intervenir suite à cette rencontre.
L’Opération Serval a réussi à libérer les principales villes du nord—Gao, Tombouctou, Kidal—mais la résistance des islamistes dans l’extrême nord se fait persistante et des questions restent à régler concernant Kidal.
Les troupes françaises devraient commencer à quitter le Mali bientôt et les Nations Unies font des plans pour la prochaine phase de la mission de stabilisation de ce pays sahélien.
C’est dans ce contexte qu’il faut situer le rapport du secrétaire général Ban Ki-moon, mardi, aux 15 membres du Conseil de Sécurité.
M. Ban a offert deux options possibles : ou bien la mission dirigée par les Africains reste sur place, mais avec un financement provenant du budget de l’ONU ; ou bien l’ONU envoie jusqu'à 11 200 casques bleus au Mali, tout en créant une force parallèle destinée à mener des opérations contre les terroristes.
Les diplomates semblent préférer la seconde option.
Le Conseil a entamé des discussions préliminaires sur les recommandations de Ban Ki-moon. Il doit se pencher à nouveau sur la question le 2 avril et un vote pourrait intervenir suite à cette rencontre.