La croissance aux Etats-Unis sera plus faible que prévu en 2014, a estimé la Réserve fédérale (Fed) mercredi. La banque centrale prévoit une hausse du produit intérieur brut (PIB) comprise entre 2,8% et 3,0% cette année, contre 2,8% à 3,2% dans sa précédente estimation, publiée en décembre.
Par ailleurs, les places boursières américaines ont mal dirigé l’annonce par la Fed qu’elle abandonnait le critère du taux de chômage comme seuil clé pour juger de la capacité de l'économie à supporter une hausse des taux d'intérêt. A New York, les indices du Dow Jones, Nasdaq et S & P 500 ont tous clôturé en baisse après la publication du communiqué de la Fed, selon lequel le relèvement des taux d’intérêt dépendrait dorénavant d'une série d'indicateurs.
La patronne de la banque centrale, Janet Yellen, a également annoncé sa décision de renoncer à promettre de maintenir les taux à leur niveau actuel « bien au-delà du moment » où le taux de chômage sera revenu sous 6,5%.
Ce Federal Open Market Committee (FOMC) était le premier présidé par Mme Yellen, qui a succédé à Ben Bernanke en février 2014.
La banque centrale a également annoncé une nouvelle réduction de 10 milliards de dollars de ses achats mensuels d'obligations sur les marchés, une mesure qui était prévue.
Par ailleurs, les places boursières américaines ont mal dirigé l’annonce par la Fed qu’elle abandonnait le critère du taux de chômage comme seuil clé pour juger de la capacité de l'économie à supporter une hausse des taux d'intérêt. A New York, les indices du Dow Jones, Nasdaq et S & P 500 ont tous clôturé en baisse après la publication du communiqué de la Fed, selon lequel le relèvement des taux d’intérêt dépendrait dorénavant d'une série d'indicateurs.
La patronne de la banque centrale, Janet Yellen, a également annoncé sa décision de renoncer à promettre de maintenir les taux à leur niveau actuel « bien au-delà du moment » où le taux de chômage sera revenu sous 6,5%.
Ce Federal Open Market Committee (FOMC) était le premier présidé par Mme Yellen, qui a succédé à Ben Bernanke en février 2014.
La banque centrale a également annoncé une nouvelle réduction de 10 milliards de dollars de ses achats mensuels d'obligations sur les marchés, une mesure qui était prévue.