Le ministre des Affaires étrangères de la Centrafrique (RCA), Toussaint Kongo-Doudou, s’est félicité jeudi de l’adoption par le Conseil de sécurité des Nations Unies (ONU) d’une résolution sur le déploiement d’une opération de maintien de la paix dans son pays.
Evoquant « une étape décisive dans le processus de rétablissement de la sécurité et de la paix et donc, de la stabilisation de la RCA », le ministre a également salué l’action menée sur le terrain par la force africaine de la MISCA et l’opération Sangaris de la France. Elles ont « permis d’éviter le pire à Bangui et dans l’arrière-pays », a dit M. Kongo-Doudou.
Néanmoins, ces forces sont insuffisantes, a estimé le ministre centrafricain des Affaires étrangères, qui a réclamé le renforcement de la MISCA, « en prélude au déploiement de cette opération de maintien de la paix, à hauteur de 3.000 hommes ».
Le gouvernement centrafricain souhaite également l’allègement de l’embargo sur les armes afin de pouvoir équiper ses forces de défense et de sécurité, a poursuivi le ministre. Le but restant de rétablir la sécurité et l’ordre public, afin de « créer le cadre nécessaire qui puisse faciliter le dialogue ». Toujours selon M. Kongo-Doudou, « il revient aux Centrafricains de s'asseoir ensemble, de dialoguer afin de trouver d'une manière durable les solutions aux multiples crises qu'a connu le pays ».
Evoquant « une étape décisive dans le processus de rétablissement de la sécurité et de la paix et donc, de la stabilisation de la RCA », le ministre a également salué l’action menée sur le terrain par la force africaine de la MISCA et l’opération Sangaris de la France. Elles ont « permis d’éviter le pire à Bangui et dans l’arrière-pays », a dit M. Kongo-Doudou.
Néanmoins, ces forces sont insuffisantes, a estimé le ministre centrafricain des Affaires étrangères, qui a réclamé le renforcement de la MISCA, « en prélude au déploiement de cette opération de maintien de la paix, à hauteur de 3.000 hommes ».
Le gouvernement centrafricain souhaite également l’allègement de l’embargo sur les armes afin de pouvoir équiper ses forces de défense et de sécurité, a poursuivi le ministre. Le but restant de rétablir la sécurité et l’ordre public, afin de « créer le cadre nécessaire qui puisse faciliter le dialogue ». Toujours selon M. Kongo-Doudou, « il revient aux Centrafricains de s'asseoir ensemble, de dialoguer afin de trouver d'une manière durable les solutions aux multiples crises qu'a connu le pays ».