Dans une adresse à la nation, M. Kenyatta a, selon l’Agence France Presse, accusé "des réseaux politiques locaux" liés à des "gangs criminels" non spécifiés. Il a pointé du doigt des "violences ethniques aux motivations politiques".
Pourtant, dans son communiqué, le groupe somalien al Shabaab a revendiqué les attaques, affirmant que c’est une réponse à la répression brutale du gouvernement kenyan contre les musulmans. Les islamistes somaliens ont appelé les touristes à éviter le Kenya, décrété par eux zone de guerre.
Les combattants aux origines controversées ont attaqué pour la seconde fois, lundi, la même ville côtière, tuant 15 personnes. Deux policiers figuraient parmi les victimes du raid effectué la nuit. Selon des témoins, les hommes armés ont également mis le feu à plusieurs maisons. Le ministre Kenyan de l'Intérieur Joseph Ole Lenku a déclaré que les assaillants ont détruit les infrastructures de communication dès le début de l'attaque.
Les États-Unis ont qualifié l'attaque de dimanche "d’odieuse" et l'ont condamnée «dans les termes les plus forts."
Pourtant, dans son communiqué, le groupe somalien al Shabaab a revendiqué les attaques, affirmant que c’est une réponse à la répression brutale du gouvernement kenyan contre les musulmans. Les islamistes somaliens ont appelé les touristes à éviter le Kenya, décrété par eux zone de guerre.
Les combattants aux origines controversées ont attaqué pour la seconde fois, lundi, la même ville côtière, tuant 15 personnes. Deux policiers figuraient parmi les victimes du raid effectué la nuit. Selon des témoins, les hommes armés ont également mis le feu à plusieurs maisons. Le ministre Kenyan de l'Intérieur Joseph Ole Lenku a déclaré que les assaillants ont détruit les infrastructures de communication dès le début de l'attaque.
Les États-Unis ont qualifié l'attaque de dimanche "d’odieuse" et l'ont condamnée «dans les termes les plus forts."