La chef de la diplomatie européenne a déclaré avoir eu des pourparlers « très substantiels » avec le ministre iranien des Affaires étrangères sur le programme nucléaire de Téhéran.
C’est ce que le porte-parole de Catherine Ashton, Michael Mann, a déclaré à Genève, alors que les négociateurs internationaux se réunissaient pour une deuxième journée consécutive.
Mme Ashton a dit être « entrée dans les détails » avec M. Javad Zarif durant la séance du matin, et les deux responsables devaient se retrouver à nouveau plus tard dans la journée.
Mme Ashton représente le groupe des six puissances mondiales - dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Chine, la France, la Russie et l'Allemagne – qui souhaitent la conclusion d’ un accord intérimaire avec Téhéran sur le nucléaire. Ce document appellerait l'Iran à cesser certaines de ses activités d'enrichissement et à accepter de nouvelles inspections de ses installations, en échange d’un allègement partiel des sanctions imposées par l’Occident.
Par ailleurs, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, négociateur en chef de l'Iran sur le dossier du nucléaire, a déclaré en début de journée que l'Iran ne suspendra pas son programme d'enrichissement de l’uranium dans le cadre d’un accord. Il a également dit des négociations sérieuses ne sauraient intervenir tant que la confiance n’est pas rétablie entre les deux parties .
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a déclaré dans une interview télévisée qu'il espère qu'un accord pourra être conclu, mais qu'il doit être ferme et concret.
Pour sa part, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, a promis mercredi que les Etats-Unis n'accepteront pas un accord qui permette à l'Iran de gagner du temps pour renforcer sa capacité nucléaire.
C’est ce que le porte-parole de Catherine Ashton, Michael Mann, a déclaré à Genève, alors que les négociateurs internationaux se réunissaient pour une deuxième journée consécutive.
Mme Ashton a dit être « entrée dans les détails » avec M. Javad Zarif durant la séance du matin, et les deux responsables devaient se retrouver à nouveau plus tard dans la journée.
Mme Ashton représente le groupe des six puissances mondiales - dont les Etats-Unis, la Grande-Bretagne, la Chine, la France, la Russie et l'Allemagne – qui souhaitent la conclusion d’ un accord intérimaire avec Téhéran sur le nucléaire. Ce document appellerait l'Iran à cesser certaines de ses activités d'enrichissement et à accepter de nouvelles inspections de ses installations, en échange d’un allègement partiel des sanctions imposées par l’Occident.
Par ailleurs, le vice-ministre iranien des Affaires étrangères, Abbas Araghchi, négociateur en chef de l'Iran sur le dossier du nucléaire, a déclaré en début de journée que l'Iran ne suspendra pas son programme d'enrichissement de l’uranium dans le cadre d’un accord. Il a également dit des négociations sérieuses ne sauraient intervenir tant que la confiance n’est pas rétablie entre les deux parties .
Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a déclaré dans une interview télévisée qu'il espère qu'un accord pourra être conclu, mais qu'il doit être ferme et concret.
Pour sa part, le secrétaire d'Etat américain, John Kerry, a promis mercredi que les Etats-Unis n'accepteront pas un accord qui permette à l'Iran de gagner du temps pour renforcer sa capacité nucléaire.