Si les autorités américaines n’arrivent pas encore à obtenir –ou, tout au moins, rendre public — une percée dans l’enquête sur le double attentat du 15 avril à Boston, elles ont, en revanche, annoncé, mercredi soir, l’arrestation d’un suspect dans l’affaire des lettres empoisonnées à des leaders politiques.
C’est dans la ville de Corinth, Mississippi, que le suspect (Paul Kevin Curtis) a été arrêté.
Des tests préliminaires ont révélé des traces de ricine, un poison virulent, dans ces lettres adressées au président Barack Obama et au sénateur républicain Roger Wicker, du Mississippi.
Ces deux lettres avaient été postées à Memphis, dans le Tennessee. Selon les enquêteurs, elles ont été interceptées dans un centre de tri postal, loin de la Maison Blanche et des bureaux du Sénat, et par conséquent ne posaient aucun danger immédiat pour le président ou le sénateur Wicker.
Le FBI avait écarté, auparavant, tout lien entre ces lettres empoisonnées et les explosions qui ont fait trois morts et plus de 170 blessés pendant le marathon de Boston, lundi.
Sur ce front, on peut dire que l’enquête a fait des progrès considérables, mais sans déboucher sur une arrestation. Mercredi soir, le FBI a annulé un point de presse à Boston, où l’on s’attendait à ce que les autorités fournissent des précisions sur l’évolution de l’enquête.
Ce jeudi, le président américain et la Première Dame Michelle Obama se rendront à Boston pour réconforter les familles et victimes de ce double attentat, et rencontrer les autorités locales et régionales. Le couple présidentiel participera à un service œcuménique dédié aux victimes en la cathédrale Sainte-Croix de Boston.
C’est dans la ville de Corinth, Mississippi, que le suspect (Paul Kevin Curtis) a été arrêté.
Des tests préliminaires ont révélé des traces de ricine, un poison virulent, dans ces lettres adressées au président Barack Obama et au sénateur républicain Roger Wicker, du Mississippi.
Ces deux lettres avaient été postées à Memphis, dans le Tennessee. Selon les enquêteurs, elles ont été interceptées dans un centre de tri postal, loin de la Maison Blanche et des bureaux du Sénat, et par conséquent ne posaient aucun danger immédiat pour le président ou le sénateur Wicker.
Le FBI avait écarté, auparavant, tout lien entre ces lettres empoisonnées et les explosions qui ont fait trois morts et plus de 170 blessés pendant le marathon de Boston, lundi.
Sur ce front, on peut dire que l’enquête a fait des progrès considérables, mais sans déboucher sur une arrestation. Mercredi soir, le FBI a annulé un point de presse à Boston, où l’on s’attendait à ce que les autorités fournissent des précisions sur l’évolution de l’enquête.
Ce jeudi, le président américain et la Première Dame Michelle Obama se rendront à Boston pour réconforter les familles et victimes de ce double attentat, et rencontrer les autorités locales et régionales. Le couple présidentiel participera à un service œcuménique dédié aux victimes en la cathédrale Sainte-Croix de Boston.