Les Nations unies (ONU) ont lancé lundi un appel de fonds à hauteur de 6,5 milliards de dollars pour aider les millions de Syriens forcés d’abandonner leur pays suite au conflit qui a éclaté il y a plus de deux ans.
Cet appel a été lancé lors d'une réunion des pays donateurs à Genève, en présence de Valerie Amos, coordinatrice des secours d'urgence de l'ONU. Selon elle, 2,3 milliards de dollars financeront l'assistance aux Syriens déplacés ou en difficulté à l'intérieur des frontières du pays. Le reste ira aux réfugiés syriens qui campent en Turquie, au Liban et ailleurs dans la région.
L’ONU estime que 40 % des Syriens ont été forcés d’abandonner leurs foyers à cause des combats. En 2012, l’ONU avait réclamé 4,4 milliards de dollars pour leur venir en aide, mais n’aurait reçu des donateurs que les deux-tiers environ de cette somme.
Par ailleurs, l’ONU est en train de faire parvenir de l’aide humanitaire dans le nord de la Syrie à partir de l’Irak, les déplacés de la région cherchant à survivre à un hiver qui s’annonce brutal. Le pont aérien, qui a été entravé par des tempêtes, a permis de livrer des rations alimentaires, des couvertures et des fournitures de santé.
A New York, le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon a souligné lundi la nécessité de parvenir à un cessez-le-feu en Syrie avant la tenue de la conférence internationale de paix Genève 2. Lors d'une conférence de presse, il a fait valoir que la situation dans ce pays s’est détériorée « au-delà de tout ce qu’on pouvait imaginer ». Rien qu’au Liban, on pourrait recenser très prochainement un million de réfugiés syriens, a-t-il dit.
M. Ban s’exprimait alors que l’Armée syrienne libre (ALS), qui est composée de plusieurs factions rebelles, a annoncé fin novembre qu'elle ne participerait pas à la conférence de Genève 2, et n'arrêterait pas les combats pendant ou après la conférence.
Cet appel a été lancé lors d'une réunion des pays donateurs à Genève, en présence de Valerie Amos, coordinatrice des secours d'urgence de l'ONU. Selon elle, 2,3 milliards de dollars financeront l'assistance aux Syriens déplacés ou en difficulté à l'intérieur des frontières du pays. Le reste ira aux réfugiés syriens qui campent en Turquie, au Liban et ailleurs dans la région.
L’ONU estime que 40 % des Syriens ont été forcés d’abandonner leurs foyers à cause des combats. En 2012, l’ONU avait réclamé 4,4 milliards de dollars pour leur venir en aide, mais n’aurait reçu des donateurs que les deux-tiers environ de cette somme.
Par ailleurs, l’ONU est en train de faire parvenir de l’aide humanitaire dans le nord de la Syrie à partir de l’Irak, les déplacés de la région cherchant à survivre à un hiver qui s’annonce brutal. Le pont aérien, qui a été entravé par des tempêtes, a permis de livrer des rations alimentaires, des couvertures et des fournitures de santé.
A New York, le Secrétaire général de l’ONU, Ban Ki-moon a souligné lundi la nécessité de parvenir à un cessez-le-feu en Syrie avant la tenue de la conférence internationale de paix Genève 2. Lors d'une conférence de presse, il a fait valoir que la situation dans ce pays s’est détériorée « au-delà de tout ce qu’on pouvait imaginer ». Rien qu’au Liban, on pourrait recenser très prochainement un million de réfugiés syriens, a-t-il dit.
M. Ban s’exprimait alors que l’Armée syrienne libre (ALS), qui est composée de plusieurs factions rebelles, a annoncé fin novembre qu'elle ne participerait pas à la conférence de Genève 2, et n'arrêterait pas les combats pendant ou après la conférence.