L’organisation, au Congo-Brazzaville, d’un dialogue national, n’a pas pour autant vidé le contentieux entre le gouvernement et l’opposition. Le gouvernement se dit prêt à prendre en compte les propositions de l’opposition, mais n’envisage pas un deuxième dialogue avant l’élection présidentielle de juillet.
Pour le premier ministre Isidore Mvouba, il n’y aura pas de deuxième concertation après le dialogue organisé du 14 au 17 avril, un dialogue boycotté par une vingtaine de formations de l’opposition. Il n’y a pas eu dialogue, le régime a discuté avec lui-même, fait savoir Pascal Tsaty Mabiala, secrétaire général de l’Union panafricaine pour le développement social (UPADS.)