"Les voyous auteurs des fuites sont finalement sous les feux de l'actualité! Ils seront attrapés!", a dénoncé le président américain sur Twitter.
The spotlight has finally been put on the low-life leakers! They will be caught!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 16 February 2017
Le dirigeant républicain avait déjà la veille dénoncé les fuites, les qualifiant "d'actes criminels", mais ne s'était pas prononcé sur le fond. Il demande au New York Time "de s'excuser".
Leaking, and even illegal classified leaking, has been a big problem in Washington for years. Failing @nytimes (and others) must apologize!
— Donald J. Trump (@realDonaldTrump) 16 February 2017
Michael Flynn, qui a démissionné lundi de la tête du Conseil de sécurité nationale de la Maison Blanche, "a été traité très injustement par les médias", s'était plaint le président lors d'une conférence de presse commune avec le Premier ministre israélien à la Maison Blanche.
Des écoutes téléphoniques de l'ambassadeur russe à Washington, Sergey Kislyak, ont révélé que Michael Flynn lui avait parlé des sanctions américaines contre la Russie - imposées le 29 décembre par Barack Obama pour l'interférence de Moscou dans la présidentielle américaine -, laissant entendre qu'elles pourraient être suspendues après l'alternance.
Le New York Times a aussi révélé mercredi, citant quatre responsables ou ex-responsables américains, que les services américains de renseignement possédaient des relevés et des écoutes de conversations tenues l'an dernier entre des membres de l'équipe de campagne du républicain et de hauts responsables du renseignement russe.