Le secrétaire d’Etat américain a rencontré le Premier ministre Benjamin Netanyahu pour lui expliquer les termes de l’accord. A l’issue de cet entretien, John Kerry a lancé un sérieux avertissement à la Syrie
“La menace de recours à la force est réelle et le régime Assad et toutes les parties prenantes au dossier doivent comprendre que le président Obama et les Etats-Unis sont déterminés à accomplir cet objectif”, a dit John Jerry.
A Washington, Barack Obama a aussi tenté d’expliquer le bienfondé de cet accord avec la Russie. Dans une interview accordée à la chaine ABC, le président américain a salué l’implication de son homologue russe dans la gestion de la crise syrienne.
Les deux pays doivent continuer à travailler ensemble selon lui, même si Vladimir Poutine voient les choses différemment.
"Je ne pense pas que M.Poutine ait les mêmes valeurs que nous et je pense clairement qu’en protégeant M.Assad il a une attitude diffèrent envers le régime syrien", pense Barack Obama.
La crise syrienne sera à nouveau à l’ordre du jour ce lundi lors d’une réunion à Paris entre le président François Hollande, le secrétaire d’Etat américain et son homologue britannique William Hague.
Le texte donne à Damas une semaine pour présenter une liste de ses armes chimiques, et celles-ci doivent être enlevées et détruites d'ici la fin du premier semestre 2014.
Un calendrier bien court selon les experts qui parlent de plusieurs années pour détruire le stock chimique syrien.
“La menace de recours à la force est réelle et le régime Assad et toutes les parties prenantes au dossier doivent comprendre que le président Obama et les Etats-Unis sont déterminés à accomplir cet objectif”, a dit John Jerry.
A Washington, Barack Obama a aussi tenté d’expliquer le bienfondé de cet accord avec la Russie. Dans une interview accordée à la chaine ABC, le président américain a salué l’implication de son homologue russe dans la gestion de la crise syrienne.
Les deux pays doivent continuer à travailler ensemble selon lui, même si Vladimir Poutine voient les choses différemment.
"Je ne pense pas que M.Poutine ait les mêmes valeurs que nous et je pense clairement qu’en protégeant M.Assad il a une attitude diffèrent envers le régime syrien", pense Barack Obama.
La crise syrienne sera à nouveau à l’ordre du jour ce lundi lors d’une réunion à Paris entre le président François Hollande, le secrétaire d’Etat américain et son homologue britannique William Hague.
Le texte donne à Damas une semaine pour présenter une liste de ses armes chimiques, et celles-ci doivent être enlevées et détruites d'ici la fin du premier semestre 2014.
Un calendrier bien court selon les experts qui parlent de plusieurs années pour détruire le stock chimique syrien.