Fusillade à Bangui au camp Béal, où sont basés des éléments de Séléka. On compte plusieurs morts, dont un officier.
Plusieurs versions circulent, l’accès à la presse restant très limité dans la capitale centrafricaine depuis le renversement du président François Bozizé.
Une unité de quelque 150 soldats congolais, constituée essentiellement de policiers et de gendarmes, est arrivée à Bangui, dans le cadre de la force MICOPAX, qui devrait atteindre les 2.000 hommes, comme promis par la CEEAC.
Le président Denis Sassou Nguesso avait déclaré auparavant vouloir déployer dans l'urgence quelque 200 militaires dans la capitale centrafricaine.
Certains sont engagés dans des opérations de désarmement.
A propos de la fusillade, des précisions avec un confrère sur place, au micro de Nathalie Barge:
Plusieurs versions circulent, l’accès à la presse restant très limité dans la capitale centrafricaine depuis le renversement du président François Bozizé.
Une unité de quelque 150 soldats congolais, constituée essentiellement de policiers et de gendarmes, est arrivée à Bangui, dans le cadre de la force MICOPAX, qui devrait atteindre les 2.000 hommes, comme promis par la CEEAC.
Le président Denis Sassou Nguesso avait déclaré auparavant vouloir déployer dans l'urgence quelque 200 militaires dans la capitale centrafricaine.
Certains sont engagés dans des opérations de désarmement.
A propos de la fusillade, des précisions avec un confrère sur place, au micro de Nathalie Barge: