Tshisekedi fait du "forcing politique", selon l'analyste Jean-Jacques Wondo
La décision du président Felix Tshisekedi de nommer un informateur dans le but de reconstituer la majorité parlementaire résulte certes d’une pression populaire et d’un constat d’échec de la coalition CACH-FCC, mais rien n’indique qu’il a les moyens légaux pour le faire. C’est l’avis de Jean-Jacques Wondo, analyste sur le Congo et l’Afrique médiane, basé à Bruxelles. Il est joint par Abdourahmane Dia.