Dans le cadre de ses mesures de sécurité, le gouvernement tchadien a déclaré en juin 2012 « zone rouge », le bord du fleuve Chari situé entre le sud-est et le sud-ouest de la ville de N’Djamena.
Les autorités en charge de la sécurité publique considère qu'il y a là un nid de malfrats. La traversée et même les activités dans cette zone de plus de 15 km sont interdites. Décision qui a des conséquences pour les riverains qui gagnent tant bien que mal de quoi faire vivre leurs familles.