M. Fabius a évoqué le soutien de la plupart des membres du G20, de l'Union européenne et du Conseil de Coopération du Golfe.
Dans son allocution hebdomadaire, le président américain Barack Obama a dit que l'attaque à l’arme chimique contre des Syriens était "une attaque directe contre la dignité humaine» et représentait une «sérieuse menace» pour la sécurité américaine.
C'est pourquoi il a demandé au Congrès de voter en faveur du recours à la force en Syrie, a-t-il souligné, rappelant qu’il s’agissait d’une action militaire limitée n'impliquant aucune troupe au sol.
L’intervention américaine en Syrie serait destinée à dissuader le gouvernement syrien d’utiliser à nouveau l’arme chimique contre son propre peuple.
Avant de se rendre à Paris, le secrétaire d'Etat américain John Kerry a discuté avec des diplomates à Vilnius, capitale de la Lituanie, qui assure la présidence tournante de l'Union Européenne.
La chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, après avoir rencontré M. Kerry, a appelé à une "réponse claire et forte" à la crise en Syrie, mais a souligné que toute action contre Damas devrait être retardée jusqu'à la publication du rapport de l’Onu sur les armes chimiques en Syrie.
Dans son allocution hebdomadaire, le président américain Barack Obama a dit que l'attaque à l’arme chimique contre des Syriens était "une attaque directe contre la dignité humaine» et représentait une «sérieuse menace» pour la sécurité américaine.
C'est pourquoi il a demandé au Congrès de voter en faveur du recours à la force en Syrie, a-t-il souligné, rappelant qu’il s’agissait d’une action militaire limitée n'impliquant aucune troupe au sol.
L’intervention américaine en Syrie serait destinée à dissuader le gouvernement syrien d’utiliser à nouveau l’arme chimique contre son propre peuple.
Avant de se rendre à Paris, le secrétaire d'Etat américain John Kerry a discuté avec des diplomates à Vilnius, capitale de la Lituanie, qui assure la présidence tournante de l'Union Européenne.
La chef de la diplomatie européenne, Catherine Ashton, après avoir rencontré M. Kerry, a appelé à une "réponse claire et forte" à la crise en Syrie, mais a souligné que toute action contre Damas devrait être retardée jusqu'à la publication du rapport de l’Onu sur les armes chimiques en Syrie.