Les autorités centrafricaines ont fait état de la mort, dimanche 17 novembre, de trois ex-éléments de l’ancienne coalition Seleka, à Bangui, lors d’un échange de tirs avec les forces de sécurité.
Les suspects avaient été identifiés par des témoins comme étant les meurtriers du magistrat Modeste Martineau Bria, directeur général des services judiciaires au ministère de la Justice.
Il a été tué par balles par plusieurs hommes armés de Kalachnikov dans la nuit de samedi à dimanche 17 novembre, en sortant d’un restaurant dans le deuxième arrondissement de Bangui. Son garde du corps, qui est intervenu pour le protéger, a été tué d’une balle dans la tête.
Pendant ce temps, le Cameroun a déployé des troupes supplémentaires à sa frontière avec la Centrafrique, suite à une nouvelle attaque meurtrière d’hommes armés en provenance de ce pays voisin.
Le ministère de la Défense rapporte que ces hommes armés non identifiés ont tué un soldat et un civil samedi 16 novembre au soir dans la ville de Biti. Cinq des assaillants auraient été tués au cours de l'affrontement qui a suivi avec des soldats camerounais.
Plusieurs autres assaillants ont été blessés et un a été fait prisonnier, selon l’armée camerounaise qui affirme avoir repoussé ce groupe armé. Le suspect capturé est interrogé pour déterminer l'identité et le motif des agresseurs.
Les habitants de cette zone se plaignent de raids réguliers transfrontaliers depuis que la rébellion Séléka en Centrafrique a accédé au pouvoir en mars dernier.
Les suspects avaient été identifiés par des témoins comme étant les meurtriers du magistrat Modeste Martineau Bria, directeur général des services judiciaires au ministère de la Justice.
Il a été tué par balles par plusieurs hommes armés de Kalachnikov dans la nuit de samedi à dimanche 17 novembre, en sortant d’un restaurant dans le deuxième arrondissement de Bangui. Son garde du corps, qui est intervenu pour le protéger, a été tué d’une balle dans la tête.
Pendant ce temps, le Cameroun a déployé des troupes supplémentaires à sa frontière avec la Centrafrique, suite à une nouvelle attaque meurtrière d’hommes armés en provenance de ce pays voisin.
Le ministère de la Défense rapporte que ces hommes armés non identifiés ont tué un soldat et un civil samedi 16 novembre au soir dans la ville de Biti. Cinq des assaillants auraient été tués au cours de l'affrontement qui a suivi avec des soldats camerounais.
Plusieurs autres assaillants ont été blessés et un a été fait prisonnier, selon l’armée camerounaise qui affirme avoir repoussé ce groupe armé. Le suspect capturé est interrogé pour déterminer l'identité et le motif des agresseurs.
Les habitants de cette zone se plaignent de raids réguliers transfrontaliers depuis que la rébellion Séléka en Centrafrique a accédé au pouvoir en mars dernier.