Au dernier jour de son séjour en Israël, le président Barack Obama doit visiter le mémorial de Yad Vashem aux victimes de l'Holocauste et déposer des couronnes sur les tombes des dirigeants israéliens. Il retournera également en Cisjordanie pour visiter l'église de la Nativité à Bethléem.
Le président américain partira ensuite pour la Jordanie où il aura des entretiens avec le roi Abdallah II sur les efforts de paix au Proche-Orient, la guerre civile en Syrie et les réforme politiques et économiques en Jordanie.
Cette escale à Amman vise à rassurer le roi Abdallah II du soutien de Washington à un moment où son pays est inondé de réfugiés fuyant la violence en Syrie, alors même que le pays est confronté à des difficultés économiques et de vives tensions, fruit du « printemps arabe ».
L’afflux de plus de 350.000 réfugiés pèse sur le budget d'un pays qui n'a pratiquement pas de ressources pétrolières. Washington a déjà fourni une aide à la Jordanie pour améliorer la situation humanitaire.
L’administration Obama soutient les efforts de l'opposition syrienne pour évincer le président syrien, Bachar al-Assad, mais elle limite son appui aux rebelles anti-gouvernementaux, malgré les appels croissants de ses alliés européens et arabes, qui souhaitent lui voir assumer un rôle plus élargi.
Le roi Abdallah II a adopté une ligne plus prudente sur la Syrie. Tout en appelant al-Assad à partir, il préconise une « solution politique » et exclut d'armer les ennemis du leader syrien. Les autorités jordaniennes redoutent l’émergence d’un régime islamiste en Syrie qui pourrait encourager les islamistes jordaniens, le principal groupe d'opposition du pays.
La Jordanie est l'un des deux seuls pays arabes, avec l'Égypte, à avoir signé un traité de paix avec Israël.
Le président américain partira ensuite pour la Jordanie où il aura des entretiens avec le roi Abdallah II sur les efforts de paix au Proche-Orient, la guerre civile en Syrie et les réforme politiques et économiques en Jordanie.
Cette escale à Amman vise à rassurer le roi Abdallah II du soutien de Washington à un moment où son pays est inondé de réfugiés fuyant la violence en Syrie, alors même que le pays est confronté à des difficultés économiques et de vives tensions, fruit du « printemps arabe ».
L’afflux de plus de 350.000 réfugiés pèse sur le budget d'un pays qui n'a pratiquement pas de ressources pétrolières. Washington a déjà fourni une aide à la Jordanie pour améliorer la situation humanitaire.
L’administration Obama soutient les efforts de l'opposition syrienne pour évincer le président syrien, Bachar al-Assad, mais elle limite son appui aux rebelles anti-gouvernementaux, malgré les appels croissants de ses alliés européens et arabes, qui souhaitent lui voir assumer un rôle plus élargi.
Le roi Abdallah II a adopté une ligne plus prudente sur la Syrie. Tout en appelant al-Assad à partir, il préconise une « solution politique » et exclut d'armer les ennemis du leader syrien. Les autorités jordaniennes redoutent l’émergence d’un régime islamiste en Syrie qui pourrait encourager les islamistes jordaniens, le principal groupe d'opposition du pays.
La Jordanie est l'un des deux seuls pays arabes, avec l'Égypte, à avoir signé un traité de paix avec Israël.