Nouveaux raids de l’aviation syrienne contre les zones sous contrôle rebelle dans le Nord du pays. Selon les activistes syriens, qui font état d’une vingtaine de morts, les raids ont commencé dans la nuit et se sont poursuivis tôt ce matin contre quatre villes, dont Idlib et Alep. Des agents des services d’urgence rapportent que des enfants figurent parmi les victimes.
Des vidéos des raids postées sur Internet montrent des ruines des maisons bombardées et des survivants retirant des corps des décombres. Ces informations n’ont pas pu être vérifiées par des sources indépendantes.
L’émissaire international pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a dit que le cessez-le-feu temporaire qu’il a demandé pourrait servir de base à une trêve réelle dans le pays. Il se rendra à Damas dans les prochains jours pour tenter d’obtenir un arrêt des combats.
Après s’être entretenu jeudi avec le chef de la diplomatie jordanienne, M. Brahimi a dit qu’un cessez-le-feu aiderait à créer la confiance en Syrie.
La trêve précédente s’était effondrée en avril, quelques jours seulement après être entrée en vigueur, et les deux camps s’étaient rejetés la responsabilité de son échec. Cette situation avait amené le précédent médiateur onusien, Kofi Annan, à démissionner sous le coup de la frustration.
Pendant ce temps, Avaaz, l’un des activistes opérant en ligne, tente d’attirer l’attention sur les milliers de cas de disparitions forcées en Syrie. Il accuse les forces de sécurité et les groupes paramilitaires d’utiliser cette tactique pour terroriser les familles et les communautés.
Avaaz a publié jeudi des témoignages de membres des familles de personnes arrêtées ou enlevées en Syrie depuis le début de la crise en mars 2011. Le groupe promet de remettre ces éléments au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU pour enquête.
Des vidéos des raids postées sur Internet montrent des ruines des maisons bombardées et des survivants retirant des corps des décombres. Ces informations n’ont pas pu être vérifiées par des sources indépendantes.
L’émissaire international pour la Syrie, Lakhdar Brahimi, a dit que le cessez-le-feu temporaire qu’il a demandé pourrait servir de base à une trêve réelle dans le pays. Il se rendra à Damas dans les prochains jours pour tenter d’obtenir un arrêt des combats.
Après s’être entretenu jeudi avec le chef de la diplomatie jordanienne, M. Brahimi a dit qu’un cessez-le-feu aiderait à créer la confiance en Syrie.
La trêve précédente s’était effondrée en avril, quelques jours seulement après être entrée en vigueur, et les deux camps s’étaient rejetés la responsabilité de son échec. Cette situation avait amené le précédent médiateur onusien, Kofi Annan, à démissionner sous le coup de la frustration.
Pendant ce temps, Avaaz, l’un des activistes opérant en ligne, tente d’attirer l’attention sur les milliers de cas de disparitions forcées en Syrie. Il accuse les forces de sécurité et les groupes paramilitaires d’utiliser cette tactique pour terroriser les familles et les communautés.
Avaaz a publié jeudi des témoignages de membres des familles de personnes arrêtées ou enlevées en Syrie depuis le début de la crise en mars 2011. Le groupe promet de remettre ces éléments au Conseil des droits de l’Homme de l’ONU pour enquête.