L’Agence France Presse (AFP) estime à 200, le nombre de prostituées qui se sont rassemblées mardi dans le marché bovin où se trouvaient leurs maisons closes de fortune, avant de mettre le feu aux constructions de la zone.
Le quotidien Vanguard annonçait auparavant qu’un grand nombre d’autres travailleuses du sexe avaient quitté les lieux.
"Ils sont cruels et inhumains", a déclaré une de ces femmes, dénommée Rachael, à l'agence de presse officielle NAN.