« Israël ne permettra à l’Iran d’obtenir l’arme nucléaire ! » a averti mardi à l’Assemblée générale des Nations Unies le chef du gouvernement israélien, Benjamin Netanyahu.
Le Premier ministre israélien a repris à la tribune de l’ONU une position déjà connue, savoir que tout programme nucléaire de l’Iran constitue une menace contre l’existence même de l’État hébreu. Pour lui, les sanctions imposées contre Téhéran doivent être maintenues, sinon tout effort diplomatique sera sans effet.
Alors que la communauté internationale semble disposée à prendre au mot les promesses du régime iranien de négocier, et son engagement à poursuivre des objectifs purement pacifiques, le leader israélien a fustigé ce qu’il appelle le double jeu d’Hassan Rouhani. La seule différence entre l’ancien président Mahmoud Ahmadinejad et son successeur Hassan Rouhani, c’est qu’Ahmadinejad était un loup non déguisé tandis que Rouhani est un loup déguisé en agneau, a-t-il estimé.
Le leader israélien dit relever un contraste frappant entre le ton conciliant du nouveau président iranien et les actes posés par le gouvernement iranien. « Non, je ne puis croire à ce que dit M. Rouhani, » a souligné M. Netanyahu.
Pour qu’il y ait une solution diplomatique, l’Iran devrait satisfaire à quatre conditions, a-t-il poursuivi. Cesser tout enrichissement d’uranium (tel que requis par plusieurs résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU), enlever du territoire iranien sa réserve d’uranium enrichi, démanteler l’infrastructure pouvant conduire à une reprise des activités nucléaires antérieures y compris les installations souterraines à Qom et les centrifugeuses avancées à Natanz, et cesser toute activité au réacteur à eau lourde destinée à produire du plutonium, a dit M. Netanyahu.
« Israël ne permettra pas à l’Iran d’obtenir l’arme nucléaire ; et si nous devons agir seul, nous le ferons, sachant que notre action sera au bénéfice de plus d’un », a averti le Premier ministre israélien.
Khodadad Seifi, conseiller à la mission iranienne auprès de l’ONU, a immédiatement réagi à ces propos belliqueux, rappelant que personne ne saurait dicter à l’Iran ce qu’il doit faire. M. Seifi a noté qu’Israël n’a toujours pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et qu’il demeure l’unique pays du Proche Orient doté d’armes nucléaires. L’état hébreu n’a jamais confirmé qu’il possède de telles armes.
Le Premier ministre israélien a repris à la tribune de l’ONU une position déjà connue, savoir que tout programme nucléaire de l’Iran constitue une menace contre l’existence même de l’État hébreu. Pour lui, les sanctions imposées contre Téhéran doivent être maintenues, sinon tout effort diplomatique sera sans effet.
Alors que la communauté internationale semble disposée à prendre au mot les promesses du régime iranien de négocier, et son engagement à poursuivre des objectifs purement pacifiques, le leader israélien a fustigé ce qu’il appelle le double jeu d’Hassan Rouhani. La seule différence entre l’ancien président Mahmoud Ahmadinejad et son successeur Hassan Rouhani, c’est qu’Ahmadinejad était un loup non déguisé tandis que Rouhani est un loup déguisé en agneau, a-t-il estimé.
Le leader israélien dit relever un contraste frappant entre le ton conciliant du nouveau président iranien et les actes posés par le gouvernement iranien. « Non, je ne puis croire à ce que dit M. Rouhani, » a souligné M. Netanyahu.
Pour qu’il y ait une solution diplomatique, l’Iran devrait satisfaire à quatre conditions, a-t-il poursuivi. Cesser tout enrichissement d’uranium (tel que requis par plusieurs résolutions du Conseil de Sécurité de l’ONU), enlever du territoire iranien sa réserve d’uranium enrichi, démanteler l’infrastructure pouvant conduire à une reprise des activités nucléaires antérieures y compris les installations souterraines à Qom et les centrifugeuses avancées à Natanz, et cesser toute activité au réacteur à eau lourde destinée à produire du plutonium, a dit M. Netanyahu.
« Israël ne permettra pas à l’Iran d’obtenir l’arme nucléaire ; et si nous devons agir seul, nous le ferons, sachant que notre action sera au bénéfice de plus d’un », a averti le Premier ministre israélien.
Khodadad Seifi, conseiller à la mission iranienne auprès de l’ONU, a immédiatement réagi à ces propos belliqueux, rappelant que personne ne saurait dicter à l’Iran ce qu’il doit faire. M. Seifi a noté qu’Israël n’a toujours pas signé le traité de non-prolifération nucléaire (TNP) et qu’il demeure l’unique pays du Proche Orient doté d’armes nucléaires. L’état hébreu n’a jamais confirmé qu’il possède de telles armes.