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Journée électorale généralement calme à Madagascar


Le président Andry Rajoelina, dépose son bulletin dans un bureau de vote, dans la banlieue d’Antananarivo, Madagascar, le 25 oct. 2013.
Le président Andry Rajoelina, dépose son bulletin dans un bureau de vote, dans la banlieue d’Antananarivo, Madagascar, le 25 oct. 2013.

Des 33 candidats briguant le fauteuil présidentiel à Antananarivo, aucun ne semble en voie de remporter les 50% nécessaires pour éviter un second tour.

Les Malgaches se sont rendus aux urnes, vendredi 25 octobre, pour élire un nouveau président. Pas moins de 33 candidats sont en lice et tout semble indiquer qu’un second tour aura lieu le mois prochain.

Des 33 candidats briguant le fauteuil présidentiel à Antananarivo, aucun ne semble en voie de remporter les 50% nécessaires pour éviter un second tour. Vendredi, les Malgaches ont voté en grand nombre, dans l’espoir de mettre fin à une transition qui dure déjà depuis quatre ans, lorsque le maire de la capitale a dirigé un coup de force, soutenu par l’armée, contre le président Marc Ravalomanana.

Des observateurs étrangers ont qualifié de paisible le déroulement du scrutin, ce que confirme le consultant en communication Guilot Ramilisson dans cet entretien à la VOA.

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Le coup de 2009 par Andry Radoelina a plongé l’île dans une grave crise économique, dû surtout à la suspension de l’aide internationale dont dépendaient 40% du budget de l’État. Conséquence de cette suspension, le gouvernement malgache a effectué des réductions drastiques dans ses programmes sociaux.

Et Rajoelina et son rival Ravalomanana n’étaient pas autorisés à se porter candidats à la présidentielle et les Malgaches s’attendent à un jour nouveau, après ce scrutin.
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