L'Assemblée générale des Nations Unies (Onu) a adopté jeudi une résolution qui rejette le référendum en Crimée sur le rattachement de la péninsule à la Russie. Pour l’Onu, ce référendum n’a aucune validité.
La résolution a recueilli 100 voix pour, 11 voix contre et 58 abstentions, sur les 193 Etats membres. A noter que les résolutions de l'Assemblée générale ne font pas l'objet d'un veto et ne sont pas contraignantes.
L'Assemblée générale a noté que le référendum qui s'est tenu le 16 mars 2014 « n'était pas autorisé par l'Ukraine » et par conséquent, « n'a aucune validité ».
Les autorités russes ont entériné le rattachement de la Crimée, ukrainienne depuis 1954, à leur territoire, à la suite du référendum par lequel 97% des électeurs ont choisi de rejoindre la Fédération de Russie.
Entre-temps, le Fonds monétaire international (FMI) a promis de débloquer entre 14 à 18 milliards de dollars pour l’Ukraine. Des crédits qui porteraient à 27 milliards de dollars le total des prêts accordés à Kiev sur les deux prochaines années. En échange, l’Ukraine sera tenue de procéder à des réformes économiques draconiennes, aussi difficiles que douloureuses pour la population.
Cet accord, qui est subordonné à l'aval du conseil d'administration du FMI, qui l'examinera en avril, a été salué par le président Barack Obama. Pour le chef de l’exécutif américain, c’est « un pas en avant » et « un signe concret » de la communauté internationale en faveur du gouvernement ukrainien. M. Obama a également appelé le Congrès à prouver son soutien à l'Ukraine en adoptant rapidement un projet de loi qui prévoit une aide d’urgence à ce pays chiffrée à 1 milliard de dollars.
En l'absence de nouveaux appuis du FMI, a fait valoir le Premier ministre ukrainien, Arseni Iatseniouk, l’économie du pays pourrait connaitre une contraction de 10 % en 2014, le pays se trouvant « au bord de la faillite économique et financière ».
La résolution a recueilli 100 voix pour, 11 voix contre et 58 abstentions, sur les 193 Etats membres. A noter que les résolutions de l'Assemblée générale ne font pas l'objet d'un veto et ne sont pas contraignantes.
L'Assemblée générale a noté que le référendum qui s'est tenu le 16 mars 2014 « n'était pas autorisé par l'Ukraine » et par conséquent, « n'a aucune validité ».
Les autorités russes ont entériné le rattachement de la Crimée, ukrainienne depuis 1954, à leur territoire, à la suite du référendum par lequel 97% des électeurs ont choisi de rejoindre la Fédération de Russie.
Entre-temps, le Fonds monétaire international (FMI) a promis de débloquer entre 14 à 18 milliards de dollars pour l’Ukraine. Des crédits qui porteraient à 27 milliards de dollars le total des prêts accordés à Kiev sur les deux prochaines années. En échange, l’Ukraine sera tenue de procéder à des réformes économiques draconiennes, aussi difficiles que douloureuses pour la population.
Cet accord, qui est subordonné à l'aval du conseil d'administration du FMI, qui l'examinera en avril, a été salué par le président Barack Obama. Pour le chef de l’exécutif américain, c’est « un pas en avant » et « un signe concret » de la communauté internationale en faveur du gouvernement ukrainien. M. Obama a également appelé le Congrès à prouver son soutien à l'Ukraine en adoptant rapidement un projet de loi qui prévoit une aide d’urgence à ce pays chiffrée à 1 milliard de dollars.
En l'absence de nouveaux appuis du FMI, a fait valoir le Premier ministre ukrainien, Arseni Iatseniouk, l’économie du pays pourrait connaitre une contraction de 10 % en 2014, le pays se trouvant « au bord de la faillite économique et financière ».