Les élections de lundi, appelées "collinaires", devraient permettre aux Burundais de désigner les chefs de collines.
Selon le code électoral burundais, les partis politiques n’entrent pas dans la course. Les candidats doivent être des indépendants.
Mais malgré cette spécificité, l’opposition conteste sa crédibilité.
"Il faut carrément reprendre tout le processus électoral de fond en comble", soutient Thatien Sibomana, porte-parole du parti d'opposition Uprona (Union pour le progrès national).