Plus de 7 000 personnes ont été victimes du choléra cette année en Guinée. Selon les scientifiques, la bactérie responsable de l’épidémie était plus virulente, contagieuse et toxique que d’autres variantes. Ils pensent d’ailleurs que c’est elle qui a également fait 300 morts en Sierra-Léone et plus de 22 000 malades.
Les scientifiques sont parvenus à cette conclusion grâce au séquençage génétique de la bactérie, qui a montré que la bactérie répandue en Guinée était une variante atypique du sérogroupe O1, biotype El Tor.
Le Dr Stanislas Rebaudet, spécialisé en maladies infectieuses et tropicales et chercheur au CHU de Marseille sur l'épidémiologie du choléra, évoque la nature très contagieuse de la variante du choléra en Guinée.
D’où la nécessité de redoubler de vigilance, souligne de son côté l'expert de l'UNICEF pour l'Eau et l'assainissement, François Bellet.
Le cholera est probablement arrivé en Guinée cette année à partir de la Sierra-Léone où l’épidémie a éclaté dans les villages du front de mer.
Les scientifiques sont parvenus à cette conclusion grâce au séquençage génétique de la bactérie, qui a montré que la bactérie répandue en Guinée était une variante atypique du sérogroupe O1, biotype El Tor.
Le Dr Stanislas Rebaudet, spécialisé en maladies infectieuses et tropicales et chercheur au CHU de Marseille sur l'épidémiologie du choléra, évoque la nature très contagieuse de la variante du choléra en Guinée.
D’où la nécessité de redoubler de vigilance, souligne de son côté l'expert de l'UNICEF pour l'Eau et l'assainissement, François Bellet.
Le cholera est probablement arrivé en Guinée cette année à partir de la Sierra-Léone où l’épidémie a éclaté dans les villages du front de mer.