La Cour pénale internationale (CPI) a reporté de trois mois l’ouverture du procès pour crimes contre l’humanité du président kényan Uhuru Kenyatta. La procédure, qui aurait dû s’ouvrir le 12 novembre 2013, commencera le 5 février 2014.
Les juges de la CPI ont « décidé de reporter l’ouverture du procès dans l’affaire à l’encontre d’Uhuru Muigai Kenyatta au 5 février 2014», a indiqué la Cour dans un communiqué.
« La défense et le procureur sont d’accord sur le report de la date du procès », a poursuivi la CPI. Elle a noté que les procureurs ont reconnu que « certaines questions factuelles soulevées par la défense méritent une enquête plus approfondie », et qu’un délai supplémentaire serait nécessaire pour préparer les témoignages de certains témoins, et autres preuves.
Le procureur de la CPI, Fatou Bensouda, a fait valoir que ce nouveau report donnerait aux témoins plus de temps pour se préparer, et faciliterait leurs déplacements.
La CPI poursuit le président kenyan et son collaborateur, William Ruto, pour crimes contre l’humanité, pour leur rôle présumé dans les violences post-électorales qui ont coûté la vie à plus de 1.100 personnes au Kenya, en 2007. Le procès de M. Ruto se poursuit à La Haye, siège de la CPI.
Les juges de la CPI ont « décidé de reporter l’ouverture du procès dans l’affaire à l’encontre d’Uhuru Muigai Kenyatta au 5 février 2014», a indiqué la Cour dans un communiqué.
« La défense et le procureur sont d’accord sur le report de la date du procès », a poursuivi la CPI. Elle a noté que les procureurs ont reconnu que « certaines questions factuelles soulevées par la défense méritent une enquête plus approfondie », et qu’un délai supplémentaire serait nécessaire pour préparer les témoignages de certains témoins, et autres preuves.
Le procureur de la CPI, Fatou Bensouda, a fait valoir que ce nouveau report donnerait aux témoins plus de temps pour se préparer, et faciliterait leurs déplacements.
La CPI poursuit le président kenyan et son collaborateur, William Ruto, pour crimes contre l’humanité, pour leur rôle présumé dans les violences post-électorales qui ont coûté la vie à plus de 1.100 personnes au Kenya, en 2007. Le procès de M. Ruto se poursuit à La Haye, siège de la CPI.