Aux Etats-Unis, janvier est le mois de prise de conscience du glaucome. Dans les pays industrialisés, les progrès en matière de diagnostic et traitements de cette maladie ont permis de réduire de moitié le risque de cécité lié au glaucome en 20 ans.
C’est ce qu’affirme une nouvelle étude américaine de la clinique Mayo dans le Minnesota. « C'est un testament du talent et des efforts des chercheurs, des physiciens et des autres membres du personnel de santé qui ont travaillé aux soins des yeux au cours de cette période », souligne le Dr Arthur Sit, ophtalmologiste à la clinique Mayo et auteur en chef de l'étude.
Le glaucome touche actuellement plus de 60 millions de personnes dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il s’agit d’une maladie dégénérative du nerf optique qui entraîne une perte progressive de la vision commençant tout d'abord en périphérie et progressant graduellement vers le centre. Le glaucome est indolore, donc ceux qui en souffrent ignorent le plus souvent qu’ils sont en train de perdre la vue. Le temps qu’ils réalisent qu’ils voient moins bien, les dégâts au nerf optique sont irréparables.
La maladie est généralement associée à une pression intra-oculaire (PIO) élevée qui comprime et endommage les fibres du nerf optique et de la rétine. Dans d'autres cas, malgré une pression normale, une circulation sanguine inadéquate entraîne la mort des cellules du nerf optique et de la rétine. La perte de vision associée au glaucome est permanente et irréversible.
D’où l’importance pour les adultes de réaliser, à partir de 40 ans, un examen de la vue spécifique au dépistage du glaucome, rappelle le Dr Sit de la clinique Mayo et son équipe, dont l’étude a été publiée dans le journal « Ophtalmology ». Cet examen n’est ni compliqué, ni coûteux. Pour mesurer la pression intra oculaire, il suffit d’utiliser un tonomètre à air pulsé qui projette un souffle d’air sur l’œil. Un examen réalisé en moins d’une minute. Alors n’hésitez pas à vous faire vérifier la pression oculaire.
C’est ce qu’affirme une nouvelle étude américaine de la clinique Mayo dans le Minnesota. « C'est un testament du talent et des efforts des chercheurs, des physiciens et des autres membres du personnel de santé qui ont travaillé aux soins des yeux au cours de cette période », souligne le Dr Arthur Sit, ophtalmologiste à la clinique Mayo et auteur en chef de l'étude.
Le glaucome touche actuellement plus de 60 millions de personnes dans le monde, selon l’Organisation mondiale de la santé (OMS). Il s’agit d’une maladie dégénérative du nerf optique qui entraîne une perte progressive de la vision commençant tout d'abord en périphérie et progressant graduellement vers le centre. Le glaucome est indolore, donc ceux qui en souffrent ignorent le plus souvent qu’ils sont en train de perdre la vue. Le temps qu’ils réalisent qu’ils voient moins bien, les dégâts au nerf optique sont irréparables.
La maladie est généralement associée à une pression intra-oculaire (PIO) élevée qui comprime et endommage les fibres du nerf optique et de la rétine. Dans d'autres cas, malgré une pression normale, une circulation sanguine inadéquate entraîne la mort des cellules du nerf optique et de la rétine. La perte de vision associée au glaucome est permanente et irréversible.
D’où l’importance pour les adultes de réaliser, à partir de 40 ans, un examen de la vue spécifique au dépistage du glaucome, rappelle le Dr Sit de la clinique Mayo et son équipe, dont l’étude a été publiée dans le journal « Ophtalmology ». Cet examen n’est ni compliqué, ni coûteux. Pour mesurer la pression intra oculaire, il suffit d’utiliser un tonomètre à air pulsé qui projette un souffle d’air sur l’œil. Un examen réalisé en moins d’une minute. Alors n’hésitez pas à vous faire vérifier la pression oculaire.