L’organisation de défense des droits humains Human-Rights Watch accuse l’Égypte de « violer la liberté d’association », suite à la décision d’un tribunal égyptien, mardi, condamnant à la prison 43 employés d’agences humanitaires étrangères.
Parmi les 43 condamnés de mardi, il y a au moins 15 citoyens américains. Ces derniers avaient quitté l’Egypte l’année dernière.
« C’est une mesure injuste qui n’est pas compatible avec le respect des droits fondamentaux de la personne, » affirme Human-Rights Watch. Certains des accusés ont été condamnés jusqu’à cinq ans d’emprisonnement.
Human-Rights Watch se dit aussi préoccupée par une proposition de loi soumise la semaine dernière par le président égyptien Mohamed Morsi, relative aux organisations non-gouvernementales opérant en Égypte.
Elle demande à M. Morsi d’en faire le retrait, car, dit Human-Rghts Watch, cette loi ne satisfait pas les obligations internationales de l’Égypte. D’autres groupes et gouvernements occidentaux se sont prononcés dans le même sens.
Parmi les 43 condamnés de mardi, il y a au moins 15 citoyens américains. Ces derniers avaient quitté l’Egypte l’année dernière.
« C’est une mesure injuste qui n’est pas compatible avec le respect des droits fondamentaux de la personne, » affirme Human-Rights Watch. Certains des accusés ont été condamnés jusqu’à cinq ans d’emprisonnement.
Human-Rights Watch se dit aussi préoccupée par une proposition de loi soumise la semaine dernière par le président égyptien Mohamed Morsi, relative aux organisations non-gouvernementales opérant en Égypte.
Elle demande à M. Morsi d’en faire le retrait, car, dit Human-Rghts Watch, cette loi ne satisfait pas les obligations internationales de l’Égypte. D’autres groupes et gouvernements occidentaux se sont prononcés dans le même sens.