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Hillary Clinton "fera une formidable présidente" selon John Kerry


La candidate démocrate Hillary Clinton accompagnée par John Kerry lors d'une réunion à Capitol Hill à Washington le 17 novembre 2010.
La candidate démocrate Hillary Clinton accompagnée par John Kerry lors d'une réunion à Capitol Hill à Washington le 17 novembre 2010.

Le secrétaire d'Etat américain John Kerry et ancien candidat démocrate à la présidentielle aux Etats-Unis a affirmé que Hillary Clinton sera une "formidable présidente".

L'actuel chef de la diplomatie américaine, qui a succédé à Mme Clinton en 2013 à la tête du département d'Etat, a été très réticent à s'exprimer publiquement sur la course à la présidentielle 2016.

Candidat du parti démocrate en 2004, John Kerry avait été battu par son rival républicain George W. Bush.

"Je pense qu'elle fera une formidable présidente", a lancé M. Kerry, jugeant que Hillary Clinton était une "grande candidate".

"En tant que père de deux filles, je suis fier", a ajouté le secrétaire d'Etat à quelques journalistes qui voyageaient avec lui à bord de son avion entre Pékin et Abou Dhabi.

Il a qualifié de "vrai moment historique pour la nation" le fait que Mme Clinton est la première femme à être investie par l'un des grands partis politiques américains.

Huit ans jour pour jour après sa défaite contre la candidat démocrate de l'époque, Barack Obama, l'ancienne Première dame, âgée de 68 ans, a revendiqué mardi la victoire dans la laborieuse campagne des primaires contre le sénateur du Vermont Bernie Sanders. Après une nouvelle série de scrutins, elle a largement assez de délégués pour recevoir l'investiture du parti à la convention de Philadelphie, fin juillet.

"Tout le monde devrait le célébrer, Républicains comme Démocrates. C'est une percée et je pense que, que l'on vote pour (le candidat républicain Donald) Trump, pour elle ou pour qui que ce soit, on peut être fier" d'avoir une femme candidate à la présidentielle du 8 novembre, a estimé John Kerry.

"Le peuple américain fera son choix. Ce n'est pas à moi de me placer au milieu de la course", a conclu le chef de la diplomatie américaine, qui fait de temps à autres allusion à sa propre campagne et à sa défaite à la présidentielle de novembre 2004.

Avec AFP

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