Ils observent une grève sèche pour exiger du gouvernement le financement et l'organisation des élections au Conseil supérieur de la magistrature, le paiement des primes de rendement de l'année 2016 et le remboursement des 80% des indemnités des magistrats illégalement amputées en 2016.
Les avocats trouvent légitimes cette grève mais déplorent le fait que cet arrêt de travail pénalise les justiciables et les prévenus de la maison d'arrêt qui attendent être situés sur leur sort.
Reportage d’André Kodmadjingar à N’Djamena pour VOA Afrique
