Le ministre français des Affaires étrangères, Laurent Fabius, a déclaré ce vendredi à Bamako que le Mouvement national de libération de l'Azawad devra "le moment venu accepter d'être cantonné et renoncer à ses armes".
"Il y a une situation spécifique liée au fait que le MNLA est présent à Kidal et que des forces françaises sont là, il n'y a aucune connexion entre les deux. La question qui se pose est : comment arriver à une situation normalisée ? Nous pensons qu'il faut qu'il y ait un dialogue. Il faut qu'entre gens de bonne volonté, on puisse se parler", a-t-il ajouté. "Le maximum doit être fait afin que Kidal retrouve la normalité", selon M. Fabius
La réponse des rebelles touaregs ne s'est pas fait attendre. Depuis Ouagadougou, Ibrahim Mohamed Ag Assaleh a déclaré à la Voix de l'Amérique que la "France n'a pas à dicter ce qu'il faut faire."
"Il y a une situation spécifique liée au fait que le MNLA est présent à Kidal et que des forces françaises sont là, il n'y a aucune connexion entre les deux. La question qui se pose est : comment arriver à une situation normalisée ? Nous pensons qu'il faut qu'il y ait un dialogue. Il faut qu'entre gens de bonne volonté, on puisse se parler", a-t-il ajouté. "Le maximum doit être fait afin que Kidal retrouve la normalité", selon M. Fabius
La réponse des rebelles touaregs ne s'est pas fait attendre. Depuis Ouagadougou, Ibrahim Mohamed Ag Assaleh a déclaré à la Voix de l'Amérique que la "France n'a pas à dicter ce qu'il faut faire."