Une équipe internationale de physiciens a mis a point des rubans de graphène hautement conducteurs à température ambiante.
Ces nanorubans de graphène où les électrons se déplacent librement, offrent des perspectives très attrayantes pour l’industrie de l’électronique, précise Claire Berger, chercheur au CNRS.
Le graphène est doté d'une très bonne conductivité électrique, les électrons s'y déplaçant jusqu'à 200 fois plus vite à température ambiante que dans le silicium. D’où son énorme potentiel en électronique.
L’équipe internationale à laquelle Mme Berger s’est jointe comprend en plus des chercheurs du CNRS et de l'Université de Lorraine, des scientifiques du Georgia Institute of Technology et du laboratoire nationale d’Oak Ridge aux Etats-Unis, et de l'Université Leibniz en Allemagne.
Leurs travaux ont été publiés sur le site de la revue Nature. Ils sont en fait menés depuis le début des années 2000, a précisé Mme Berger.
La mobilité des nouveaux rubans de graphène serait mille fois plus importante que celle des semi-conducteurs en silicium utilisés notamment dans les processeurs et mémoires d'ordinateurs, a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, a souligné Mme Berger, ces rubans peuvent être produits facilement et en grande quantité tout en conservant les mêmes propriétés, ce qui a priori rendra leur utilisation à grande échelle possible. Grâce à leur conductivité électronique à température ambiante, ils pourraient permettre de nombreuses applications en nanoélectronique de pointe.
Ces nanorubans de graphène où les électrons se déplacent librement, offrent des perspectives très attrayantes pour l’industrie de l’électronique, précise Claire Berger, chercheur au CNRS.
Le graphène est doté d'une très bonne conductivité électrique, les électrons s'y déplaçant jusqu'à 200 fois plus vite à température ambiante que dans le silicium. D’où son énorme potentiel en électronique.
L’équipe internationale à laquelle Mme Berger s’est jointe comprend en plus des chercheurs du CNRS et de l'Université de Lorraine, des scientifiques du Georgia Institute of Technology et du laboratoire nationale d’Oak Ridge aux Etats-Unis, et de l'Université Leibniz en Allemagne.
Leurs travaux ont été publiés sur le site de la revue Nature. Ils sont en fait menés depuis le début des années 2000, a précisé Mme Berger.
La mobilité des nouveaux rubans de graphène serait mille fois plus importante que celle des semi-conducteurs en silicium utilisés notamment dans les processeurs et mémoires d'ordinateurs, a-t-elle ajouté.
Par ailleurs, a souligné Mme Berger, ces rubans peuvent être produits facilement et en grande quantité tout en conservant les mêmes propriétés, ce qui a priori rendra leur utilisation à grande échelle possible. Grâce à leur conductivité électronique à température ambiante, ils pourraient permettre de nombreuses applications en nanoélectronique de pointe.