Michel Djotodia, le leader de la Seleka, s’est auto-proclamé nouveau chef de l'Etat et ce lundi, l’Union Africain a suspendu la République centrafricaine de l'organisation.
L'UA a également imposé des sanctions à sept responsables de la coalition rebelle Séléka, dont Michel Djotodia.
24 heures après la prise de pouvoir par les rebelles, la situation reste difficile pour les habitants de Bangui et sa périphérie.
L’insécurité et le manque d’électricité persistent malgré les discours rassurants des rebelles qui affirment contrôler la situation.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a condamné la prise de pouvoir par la Seleka et s'est déclaré inquiet des violations de droits de l'homme, selon son porte-parole Martin Nesirky.
La France elle aussi a condamné "le recours à la force " et demandé l'arrêt des pillages et le rétablissement rapide de l'ordre à Bangui
Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité a eu lieu cet après-midi à New-York.
Les communications avec la Centrafrique sont très difficiles. La Seleka se veut pourtant rassurante et affirme qu’elle respectera les accords de Libreville et Nicolas Tiangaye comme Premier ministre
Au moins treize militaires de la force sud-africaine déployée en Centrafrique ont été tués au cours du week-end, et 27 autres blessés dans les affrontements avec les rebelles centrafricains. C’est ce qu’a indiqué ce lundi le président sud-africain Jacob Zuma, en annonçant le maintien pour l'instant du reste des troupes sur place.
Depuis la prise fracassante de Bangui, on n’avait aucune nouvelle de Francois Bozizé. Le président centrafricain arrivé au pouvoir par les armes en 2003 a fait réapparition au Cameroun. C’est ce qu’a indiqué un communiqué de la présidence camerounaise qui précise François Bozizé est dans l'attente de son départ vers un autre pays d'accueil.
La famille du président Bozizé, elle, a été prise en charge en République démocratique du Congo, a indiqué Lambert Mende, porte-parole du gouvernement congolais.
L'UA a également imposé des sanctions à sept responsables de la coalition rebelle Séléka, dont Michel Djotodia.
24 heures après la prise de pouvoir par les rebelles, la situation reste difficile pour les habitants de Bangui et sa périphérie.
L’insécurité et le manque d’électricité persistent malgré les discours rassurants des rebelles qui affirment contrôler la situation.
Le secrétaire général de l'ONU Ban Ki-moon a condamné la prise de pouvoir par la Seleka et s'est déclaré inquiet des violations de droits de l'homme, selon son porte-parole Martin Nesirky.
La France elle aussi a condamné "le recours à la force " et demandé l'arrêt des pillages et le rétablissement rapide de l'ordre à Bangui
Une réunion d’urgence du Conseil de sécurité a eu lieu cet après-midi à New-York.
Les communications avec la Centrafrique sont très difficiles. La Seleka se veut pourtant rassurante et affirme qu’elle respectera les accords de Libreville et Nicolas Tiangaye comme Premier ministre
Au moins treize militaires de la force sud-africaine déployée en Centrafrique ont été tués au cours du week-end, et 27 autres blessés dans les affrontements avec les rebelles centrafricains. C’est ce qu’a indiqué ce lundi le président sud-africain Jacob Zuma, en annonçant le maintien pour l'instant du reste des troupes sur place.
Depuis la prise fracassante de Bangui, on n’avait aucune nouvelle de Francois Bozizé. Le président centrafricain arrivé au pouvoir par les armes en 2003 a fait réapparition au Cameroun. C’est ce qu’a indiqué un communiqué de la présidence camerounaise qui précise François Bozizé est dans l'attente de son départ vers un autre pays d'accueil.
La famille du président Bozizé, elle, a été prise en charge en République démocratique du Congo, a indiqué Lambert Mende, porte-parole du gouvernement congolais.