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CAN 2017: le vainqueur empochera 4 millions de dollars


Le trophée de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) est exposée lors de l'élection du Gabon pour accueillir l’édition 2017 de la CAN, au Caire, Egypte, 8 avril 2015.
Le trophée de la Coupe d'Afrique des Nations (CAN) est exposée lors de l'élection du Gabon pour accueillir l’édition 2017 de la CAN, au Caire, Egypte, 8 avril 2015.

Le prochain vainqueur de la Coupe d'Afrique des nations (CAN), organisée au Gabon du 14 janvier au 5 février, empochera 4 millions de dollars (3,7 M EUR), contre 1,5 million de dollars auparavant, a annoncé la Confédération africaine de football (CAF) mercredi.

L'instance africaine a, en effet, augmenté l'ensemble des dotations des compétitions qu'elle organise, la CAN bien sûr, mais aussi la Ligue des champions africaines ou la Coupe de la confédération, pour les gagnants comme pour les équipes éliminées en cours de compétition.

La plus grosse progression concerne la CAN disputée tous les deux ans entre les sélections africaines. Avec quatre millions de dollars à partir de 2017, la rétribution du vainqueur augmente de 166%.

Le club vainqueur de la Ligue des champions africaines recevra 2,5 millions de dollars (2,3 M EUR), au lieu d'1,5 million de dollars offert auparavant.

La Coupe de la confédération africaine, remportée dimanche par les Congolais du Tout Puissant Mazembe, rapportait jusqu'ici 660.000 dollars (600.000 EUR). A partir de 2017, le vainqueur obtiendra 1,25 millions de dollars.

Le championnat d'Afrique des nations, réservé aux joueurs évoluant sur le continent, passe de 750.000 dollars (686.000 EUR) à 1,25 million de dollars.

Cette annonce a lieu quatre mois après la signature d'un accord de la CAF avec un nouveau sponsor, le groupe français Total. Le géant pétrolier a signé un contrat de huit ans avec l'instance africaine, pour un montant estimé à un peu plus d'un milliard de dollars (915 M EUR).

Les frais de déplacements sont souvent un véritable défi pour les équipes africaines, parfois contraintes de faire escale au Moyen-Orient ou en Europe pour rogner les coûts.

Avec AFP

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