Il s’agit d’un contrat liant le gouvernement du Burundi à une compagnie américaine basée en Californie et spécialisée dans les télécoms pour une livraison d’un matériel sophistiqué.
Ce montant représente les ¾ du budget de l’Etat mais ne figure nulle part.
Les autorités burundaises restent prudentes et refusent de s’exprimer. L'affaire tombe mal puisque le président burundais a demandé la tolérence zéro contre la corruption lors de son investiture pour son second mandat en août dernier.