Au Burkina Faso, l’Alliance pour la Démocratie et la Fédération/Rassemblement Démocratique Africain (ADF/RDA), a tenu son congrès ce weekend.
Ce parti clé de la majorité présidentielle a pris deux décisions importantes. D’abord, il réaffirmé son opposition à la modification de l’article 37 de la constitution limitant le nombre de mandats présidentiels à deux.
Et, plus surprenant, le parti, qui avait soutenu Blaise Compaoré lors des dernières présidentielles, a décidé de présenter son propre candidat à l’élection présidentielle de 2015.
« Nous sommes pour la limitation du principe des mandats présidentiels afin de permettre un renouvellement de la classe politique », explique Gilbert Ouédraogo, le président du parti.
Alors question: le parti ADF/RDA fait-il partie de la majorité présidentielle au Burkina Faso ?
« Nous sommes de la majorité », insiste Me Ouédraogo, l’ancien ministre des Transports qui est aussi l’actuel maire de Ouahigouya, dans le nord du Burkina Faso.
Pour lui, il n y a rien de surprenant dans cette position. « Les positions que nous défendons aujourd’hui sont des positions de principe qui sont conformes à nos textes organisationnels, à notre programme politique, et ne sont pas contre une personne », explique Me Ouédraogo.
Ce parti clé de la majorité présidentielle a pris deux décisions importantes. D’abord, il réaffirmé son opposition à la modification de l’article 37 de la constitution limitant le nombre de mandats présidentiels à deux.
Et, plus surprenant, le parti, qui avait soutenu Blaise Compaoré lors des dernières présidentielles, a décidé de présenter son propre candidat à l’élection présidentielle de 2015.
« Nous sommes pour la limitation du principe des mandats présidentiels afin de permettre un renouvellement de la classe politique », explique Gilbert Ouédraogo, le président du parti.
Alors question: le parti ADF/RDA fait-il partie de la majorité présidentielle au Burkina Faso ?
« Nous sommes de la majorité », insiste Me Ouédraogo, l’ancien ministre des Transports qui est aussi l’actuel maire de Ouahigouya, dans le nord du Burkina Faso.
Pour lui, il n y a rien de surprenant dans cette position. « Les positions que nous défendons aujourd’hui sont des positions de principe qui sont conformes à nos textes organisationnels, à notre programme politique, et ne sont pas contre une personne », explique Me Ouédraogo.