La visite du chef de l'ONU s'est faite au pas de course dans la capitale centrafricaine.
Il a d'abord rencontré Catherine Samba-Panza, la présidente de la transition, avec laquelle il s'était déjà entretenu cette semaine à Bruxelles
Puis, le diplomate onusien s'est rendu aux camps de déplacés de M'Poko et du PK-5. Sur place, il a pu constater le désarroi de ces dizaines de milliers de personnes qui s'entassent à quelques pas des pistes de l'aéroport.
Le Secrétaire Général des Nations unies a assuré que la communauté internationale était là pour les protéger. Il a aussi rencontré les chefs religieux, les membres de la société civile avant de s'adresser aux membres du Conseil National de Transition (CNT).
Devant le parlement provisoire, M.Ban a appelé les leaders centrafricains à empêcher un nouveau "génocide" en Afrique : "d'ici, je vais directement à Kigali pour commémorer le 20e anniversaire du génocide rwandais. C'est votre responsabilité à tous d'assurer que nous n'aurons jamais à commémorer un tel anniversaire en Centrafrique", a insisté le secrétaire général de l'ONU.
Il a d'abord rencontré Catherine Samba-Panza, la présidente de la transition, avec laquelle il s'était déjà entretenu cette semaine à Bruxelles
Puis, le diplomate onusien s'est rendu aux camps de déplacés de M'Poko et du PK-5. Sur place, il a pu constater le désarroi de ces dizaines de milliers de personnes qui s'entassent à quelques pas des pistes de l'aéroport.
Le Secrétaire Général des Nations unies a assuré que la communauté internationale était là pour les protéger. Il a aussi rencontré les chefs religieux, les membres de la société civile avant de s'adresser aux membres du Conseil National de Transition (CNT).
Devant le parlement provisoire, M.Ban a appelé les leaders centrafricains à empêcher un nouveau "génocide" en Afrique : "d'ici, je vais directement à Kigali pour commémorer le 20e anniversaire du génocide rwandais. C'est votre responsabilité à tous d'assurer que nous n'aurons jamais à commémorer un tel anniversaire en Centrafrique", a insisté le secrétaire général de l'ONU.