En Centrafrique, alors que les consultations se poursuivent pour élire un nouveau président de la transition, la question des élections va très vite se poser.
La communauté internationale, dont la France, pousse pour que le scrutin ait lieu au plus tard début 2015.
Un calendrier très serré qui semble difficilement réalisable tant les défis auxquels est confrontée la Centrafrique sont gigantesques.
C’est dans ce contexte que l’Autorité nationale des élections s’apprête à rendre dans les prochaines semaines son rapport.
Ses conclusions sont très attendues pour la crédibilité de l’organisation du prochain scrutin présidentiel
Dieudonné Kombo-Yaya dirige l’ANE et précise que les besoins financiers sont enormes."Nous sommes en train de mener des opérations d’évaluation sur le terrain pour voir quelles sont les conditions actuelles et ce qu’il faut faire pour pouvoir aller aux élections", explique-t-il à la Voix de l'Amérique.
Le président de l'ANE ajoute que pour procéder à "un recensement électoral crédible, il faut que tout le monde soit rentré. Rien qu'à Bangui, il y a 100.000 déplacés."
La communauté internationale, dont la France, pousse pour que le scrutin ait lieu au plus tard début 2015.
Un calendrier très serré qui semble difficilement réalisable tant les défis auxquels est confrontée la Centrafrique sont gigantesques.
C’est dans ce contexte que l’Autorité nationale des élections s’apprête à rendre dans les prochaines semaines son rapport.
Ses conclusions sont très attendues pour la crédibilité de l’organisation du prochain scrutin présidentiel
Dieudonné Kombo-Yaya dirige l’ANE et précise que les besoins financiers sont enormes."Nous sommes en train de mener des opérations d’évaluation sur le terrain pour voir quelles sont les conditions actuelles et ce qu’il faut faire pour pouvoir aller aux élections", explique-t-il à la Voix de l'Amérique.
Le président de l'ANE ajoute que pour procéder à "un recensement électoral crédible, il faut que tout le monde soit rentré. Rien qu'à Bangui, il y a 100.000 déplacés."