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Vital Kamerhe introduit une nouvelle demande de libération provisoire à Kinshasa


Vital Kamerhe, leader du parti de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC) lors d'une conférence de presse à Nairobi, Kenya, le 23 novembre 2018. REUTERS/Baz Ratner
Vital Kamerhe, leader du parti de l'Union pour la Nation Congolaise (UNC) lors d'une conférence de presse à Nairobi, Kenya, le 23 novembre 2018. REUTERS/Baz Ratner

Le procès en appel de Vital Kamerhe, directeur de cabinet et ancien allié principal du président de la République démocratique du Congo, Félix Tshisekedi, condamné à 20 ans de prison pour corruption, a été renvoyé au 18 septembre, a-t-on appris vendredi de son avocat.

L'audience a été "renvoyée au 18 septembre", a déclaré à l'AFP Me Jean-Marie Kabengela. "Nous avons formulé une demande de mise en liberté provisoire, justifiée par l'état de santé de M. Kamerhe qui se dégrade", a-t-il ajouté.

Ex-président de l'Assemblée nationale, M. Kamerhe, 61 ans, s'était désisté en faveur de l'actuel chef de l'État Tshisekedi lors de la campagne électorale fin 2018.

Nommé directeur du cabinet du chef de l’État en janvier 2019, M. Kamerhe a été arrêté le 8 avril 2020 et condamné à 20 ans de prison, avec l'entrepreneur libanais Jammal Samih, 79 ans, pour le détournement d'environ 50 millions de dollars.

Malgré sa condamnation, M. Kamerhe clame son innocence et ses avocats dénoncent une "justice expéditive". Ses partisans parlent d'un "procès politique" pour l'empêcher de se présenter à la présidentielle de 2023.

Jeudi, les partisans et proches de M. Kamerhe ont organisé des séances de prière à Kinshasa et dans d'autres villes du pays pour "implorer Dieu" en faveur de sa libération.

Le procès en appel de Vital Kamerhe encore renvoyé
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