Ouverture jeudi à Islamabad, du premier round de négociations entre le gouvernement et les talibans pakistanais. Il s’agit, dans un premier temps, de jeter les bases de pourparlers futurs entre les deux parties, pour mettre définitivement fin à une insurrection islamiste sanglante.
L’insurrection des talibans pakistanais a fait des milliers de morts, en sept ans. Les négociations ne seront pas faciles. Le régime du premier ministre Nawaz Sharif a été accusé, par ses détracteurs, de ne pas être assez ferme avec les talibans. Ces derniers, pour rappel, ont mis à profit de précédents efforts de paix pour se regrouper, recruter de nouveaux combattants et frapper plus fort encore.
Les Talibans veulent l’application stricte de la sharia ou loi islamique au Pakistan ; la libération de leurs combattants incarcérés ; et le retrait des troupes gouvernementales des zones tribales du nord-ouest, considérées comme un sanctuaire pour les djihadistes.
En tout cas les voisins du Pakistan suivent de très près ces négociations car leur échec pourrait déstabiliser encore plus la région, à la veille du retrait des troupes étrangères de l’Afghanistan voisin.
L’insurrection des talibans pakistanais a fait des milliers de morts, en sept ans. Les négociations ne seront pas faciles. Le régime du premier ministre Nawaz Sharif a été accusé, par ses détracteurs, de ne pas être assez ferme avec les talibans. Ces derniers, pour rappel, ont mis à profit de précédents efforts de paix pour se regrouper, recruter de nouveaux combattants et frapper plus fort encore.
Les Talibans veulent l’application stricte de la sharia ou loi islamique au Pakistan ; la libération de leurs combattants incarcérés ; et le retrait des troupes gouvernementales des zones tribales du nord-ouest, considérées comme un sanctuaire pour les djihadistes.
En tout cas les voisins du Pakistan suivent de très près ces négociations car leur échec pourrait déstabiliser encore plus la région, à la veille du retrait des troupes étrangères de l’Afghanistan voisin.